ArticleL-123-5 du Code de Commerce (Alinéa 1) Le fait de donner, de mauvaise foi, des indications inexactes ou incomplÚtes en vue d'une immatriculation, d'une radiation ou d'une mention complémentaire ou rectificative au Registre du Commerce et des Sociétés est puni d'une amende de 4.500 euros et d'un emprisonnement de six mois
1. DĂ©clarant Informations telles que figurant au RCSDĂ©nomination ou raison sociale de la personne morale .......................................ImmatriculĂ©e au RCS, numĂ©ro .............IdentitĂ© et qualitĂ© du reprĂ©sentant lĂ©gal signataire .......................................2. Objet de la dĂ©clarationDĂ©clare que les comptes annuels de l'exercice clos le ................................................................................................ et qui sont dĂ©posĂ©s en annexe au registre du commerce et des sociĂ©tĂ©s ne seront pas rendus publics en application de l'article L232-25 du code de commerce et du premier alinĂ©a de l'article L524-6-6 du code rural et de la pĂȘche Engagement du dĂ©clarantLe la soussignĂ©e atteste sur l'honneur que les renseignements contenus dans la prĂ©sente dĂ©claration sont exacts et que la sociĂ©tĂ© susvisĂ©e rĂ©pond Ă  la dĂ©finition des micro-entreprises au sens de l'article L. 123-16-1 du code de commerce, n'est pas mentionnĂ©e Ă  l'article L. 123-16-2 et n'a pas pour activitĂ© la gestion des titres de participations et de valeurs fausse dĂ©claration de confidentialitĂ© des comptes annuels constitue un faux et un usage de faux passible des peines d'amende et d'emprisonnement prĂ©vues aux articles 441-1 et suivants du code Ă  ........le ...........SignatureVĂ©rifiĂ© le 07 aoĂ»t 2018 - Direction de l'information lĂ©gale et administrative Premier ministrePour toute explication, consulter les fiches pratiques
IntĂ©grĂ©epar la suite au Code de commerce, art. L. 123-22. DĂ©crt en o 98-939, du 14 octobre 1998, rĂ©forme le ComitĂ© de la rĂ©glementation comptable. 1999 PCG Plan Comptable GĂ©nĂ©ral : rĂšglement n° 99-03 du CRC. ArrĂȘtĂ© du 22 juin 1999, réécriture du plan comptable (PCG 99). RĂšglement n° 99-02 du CRC comptes consolidĂ©s.
Les rĂšgles en matiĂšre de facturation sont Ă©dictĂ©es par les articles L441-1 et suivants du code de commerce. Les mentions obligatoires figurent, depuis une ordonnance du 24 avril 2019, Ă  l'article s'appliquent avec les rĂšgles prĂ©vues par le code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts pour les assujettis Ă  la taxe sur la valeur ajoutĂ©e qui les clarifie les rĂšgles commerciales et fiscales de facturation et prĂ©voit deux mentions complĂ©mentaires, destinĂ©es Ă  faciliter le respect des dĂ©lais de paiement et limiter les retards de paiement. Ces mentions concernent autant les factures Ă©lectroniques que les factures date du 1er octobre 2019 marque la fin du dĂ©lai laissĂ© aux professionnels pour se mettre en obligations en matiĂšre de facturation une clarificationLes rĂšgles de facturation entre professionnels figurent Ă  la fois dans le code de commerce et dans le code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts. L'ordonnance harmonise la formulation de certaines rĂšgles entre les deux codes pour clarifier les le vendeur est toujours tenu de dĂ©livrer la facture et l'acheteur tenu de la lui rĂ©clamer, la date d'Ă©mission de la facture est dĂ©sormais celle du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts par renvoi depuis le code de commerce..Les factures sont Ă©mises dĂšs la rĂ©alisation de la livraison ou de la prestation de service. La livraison du bien est le transfert du pouvoir de disposer du bien corporel comme un le code de commerce faisait seulement rĂ©fĂ©rence Ă  la rĂ©alisation de la vente ou de la prestation de service pour ces factures Ă©tablies en double mentions obligatoires sur les factures 2 nouveautĂ©sLes deux nouvelles mentions qu'ajoute l'ordonnance n°2019-359 sont l'adresse de facturation de l'acheteur et du vendeur lorsqu'elles diffĂšrent de l'adresse principale siĂšge social et le numĂ©ro de bon de commande préétabli par l' nouvelle adresse permet d'adresser les factures directement au service compĂ©tent des petites et moyennes entreprises ou PME et des grandes entreprises. Le numĂ©ro du bon de commande doit en faciliter le traitement pour limiter les dĂ©lais de autres mentions obligatoires restent inchangĂ©es. Le droit commercial prĂ©voit le nom des parties ;l'adresse du siĂšge ou de facturation si diffĂ©rente ;la date de la vente ou de la prestation de services ;la quantitĂ©, la dĂ©nomination prĂ©cise et le prix unitaire hors TVA ;les rĂ©ductions de prix acquises Ă  la date de la vente ou prestation de services ;la date limite de rĂšglement ;les conditions d'escompte ;le taux des pĂ©nalitĂ©s exigibles le lendemain de la date limite de paiement ;le montant de l'indemnitĂ© forfaitaire pour frais de recouvrement en cas de retard de paiement ;le bon de code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts ajoute notamment les mentions relatives Ă  la taxe sur la valeur ajoutĂ©e et celles relatives aux exonĂ©rations. Parmi ces mentions figurent le numĂ©ro individuel d'identification Ă  la TVA du vendeur ;le numĂ©ro de TVA intracommunautaire de l'acheteur ;le numĂ©ro unique de la facture basĂ© sur une sĂ©quence chronologique et continue ;le taux de taxe sur la valeur ajoutĂ©e ou le bĂ©nĂ©fice d'une exonĂ©ration telle que la rĂ©fĂ©rence Ă  l'article 293B du CGI pour les auto entrepreneurs ;le montant de la taxe Ă  payer ;le montant hors taxe et le montant de TVA par taux ;Ă©ventuellement les mentions autoliquidation ou autofacturation le cas d'entrĂ©e en vigueur des nouvelles dispositionsCes 2 nouvelles mentions, Ă  l'instar de toutes les dispositions qui concernent la facturation, s'appliquent depuis le lendemain de la publication de l'Ordonnance au journal officiel sous rĂ©serve des mesures dĂ©lais ont Ă©tĂ© laissĂ©s aux professionnels pour s'adapter aux nouvelles rĂšgles et accessoirement, vĂ©rifier la mise Ă  jour de leur logiciel de premier dĂ©lai concerne les factures Ă©mises hors convention entre fournisseurs et distributeurs ou prestataires de services. Le dĂ©lai d'adaptation se termine le 30 nouvelles mentions s'appliquent Ă  toutes les factures Ă©mises Ă  compter du 1er octobre second dĂ©lai concerne les conventions conclues entre fournisseurs et distributeurs ou prestataires de services en cours Ă  la date de publication de l'ordonnance. Les parties ont jusqu'au 1er mars 2020 pour se mettre en de conservation des facturesL'article R441-3 du code de commerce ne donne plus de dĂ©lai de conservation. Il renvoie au dĂ©lai de conservation est ainsi harmonisĂ© et correspond Ă  la fin de la 3Ăš annĂ©e civile qui suit celle au titre de laquelle l'impĂŽt sur les sociĂ©tĂ©s ou la TVA est dĂ©lai de reprise de l'administration fiscale qui correspond dĂ©sormais au dĂ©lai minimum de conservation peut aller bien au-delĂ  de trois annĂ©es en plus de l'annĂ©e en cours. Il peut ĂȘtre Ă©largi en cas de fraude, d'activitĂ©s occultes, de flagrance fiscale ou encore d'omission ou d'insuffisance d'imposition dĂ©couverte dans le cadre d'un Ă©galement que l'article L123-22 du code de commerce oblige Ă  conserver les documents commerciaux et piĂšces justificatives pendant une durĂ©e de 10 ans minimum aprĂšs la clĂŽture de l'exercice pratique, c'est ce dernier dĂ©lai qui devrait ĂȘtre retenu. LePrĂ©fet du Var, vu le code de commerce, notamment ses articles L. 123-11-2 Ă  L. 123-11-5, L. 123-11-7, et R. 123-166-1 et suivants ; Vu le code monĂ©taire et financier, notamment ses articles L. 561-37 Ă  L. 561-43 et R. 561-39 et suivants ; Vu le dĂ©cret no 2009-1535 du 10 dĂ©cembre 2009 dĂ©finissant les modalitĂ©s de contrĂŽle du ConformĂ©ment Ă  l’article L. 232-21 et suivants du code de commerce les sociĂ©tĂ©s sont tenues de dĂ©poser leurs comptes annuels au greffe dans le dĂ©lai d’un mois Ă  compter du jour de l’approbation des comptes par les associĂ©s. Ces comptes annuels sont publiĂ©s sur plusieurs sites internet ex infogreffe, Ă  dĂ©faut de pouvoir bĂ©nĂ©ficier de la confidentialitĂ© des comptes. Or certains dirigeants ne souhaitent pas publier leurs comptes. DĂšs lors, quels sont les consĂ©quences pour la sociĂ©tĂ© et le dirigeant en cas de non dĂ©pĂŽt des comptes ? Qui peut demander ou forcer la sociĂ©tĂ© Ă  publier les comptes ? En matiĂšre civile, c’est le PrĂ©sident du Tribunal de commerce averti par le greffe ou par toute autre personne intĂ©ressĂ©e qui peut enjoindre sous astreinte la sociĂ©tĂ© Ă  dĂ©poser les comptes I. Au pĂ©nal, il faut savoir que le non dĂ©pĂŽt des comptes est une infraction et que le commissaire aux comptes est en principe tenue de dĂ©noncer cette infraction II. Enfin, le non dĂ©pĂŽt des comptes peut constituer une faute de la part du dirigeant III. I. Sur les injonctions du PrĂ©sident du Tribunal de Commerce de faire dĂ©poser les comptes sous astreinte et le risque de la procĂ©dure des entreprises en difficultĂ© Toute personne intĂ©ressĂ©e peut demander la publication des comptes au PrĂ©sident du tribunal de commerce qui peut ordonner une injonction de dĂ©pĂŽt sous astreinte A. A dĂ©faut de dĂ©pĂŽt des comptes annuels le PrĂ©sident peut engager une procĂ©dure d’alerte prĂ©vue pour les entreprises en difficultĂ© B. 1. L’injonction demandĂ©e par tout intĂ©ressĂ©, le ministĂšre public ou par le greffe ConformĂ©ment Ă  l’article L. 123-5-1 du code de commerce A la demande de tout intĂ©ressĂ© ou du ministĂšre public, le prĂ©sident du tribunal, statuant en rĂ©fĂ©rĂ©, peut enjoindre sous astreinte au dirigeant de toute personne morale de procĂ©der au dĂ©pĂŽt des piĂšces et actes au registre du commerce et des sociĂ©tĂ©s auquel celle-ci est tenue par des dispositions lĂ©gislatives ou rĂ©glementaires.» La Cour de cassation reconnait la qualitĂ© de toute intĂ©ressĂ© Ă  un ancien salariĂ© de la sociĂ©tĂ©, sans qu’il ait Ă  prouver l’existence d’un intĂ©rĂȘt lĂ©gitime Cass. com., 3 avr. 2012, no DĂšs lors, toute personne intĂ©ressĂ©e pourrait donc saisir le PrĂ©sident du tribunal de commerce pour obtenir une injonction de faire de dĂ©poser les comptes sous astreinte. De plus, conformĂ©ment Ă  l’article du code de commerce Le greffier, lorsqu’il constate l’inexĂ©cution du dĂ©pĂŽt prĂ©vu au I des articles L. 232-21 Ă  L. 232-23, informe le prĂ©sident du tribunal de commerce pour qu’il puisse faire application de l’article L. 123-5-2 ou du II de l’article L. 611-2 ainsi que le reprĂ©sentant de l’Etat dans le dĂ©partement. » Toute personne intĂ©ressĂ©e, le greffe ou le ministĂšre public peuvent donc demander au PrĂ©sident du tribunal de commerce, de dĂ©poser les comptes. DĂšs rĂ©ception de l’injonction de dĂ©pĂŽt par le PrĂ©sident du tribunal de commerce, la sociĂ©tĂ© doit le plus tĂŽt possible dĂ©poser ses comptes le plus tĂŽt possible pour Ă©viter de payer l’astreinte journaliĂšre. A dĂ©faut de dĂ©poser les comptes malgrĂ© l’astreinte, le PrĂ©sident du tribunal pourra engager une procĂ©dure d’alerte des entreprises en difficultĂ©. 2. L’injonction par saisie du PrĂ©sident du Tribunal de commerce au titre de la prĂ©vention des entreprises en difficultĂ©s A dĂ©faut de rĂ©pondre Ă  l’injonction du PrĂ©sident du tribunal de dĂ©poser les comptes, le PrĂ©sident peut engager une procĂ©dure d’alerte lui permettant d’obtenir communication des informations sur la situation Ă©conomique et financiĂšre de la sociĂ©tĂ© art. II En effet, dans ce cas le PrĂ©sident du tribunal de commerce pourra 
 le prĂ©sident du tribunal peut, nonobstant toute disposition lĂ©gislative ou rĂ©glementaire contraire, obtenir communication, par les commissaires aux comptes, les membres et reprĂ©sentants du personnel, les administrations publiques, les organismes de sĂ©curitĂ© et de prĂ©voyance sociales ainsi que les services chargĂ©s de la centralisation des risques bancaires et des incidents de paiement, des renseignements de nature Ă  lui donner une exacte information sur la situation Ă©conomique et financiĂšre du dĂ©biteur. » En pratique, il est courant que le greffe dĂ©livre une mise en demeure Ă  la sociĂ©tĂ© de dĂ©poser ses comptes avant de prĂ©venir le PrĂ©sident du Tribunal de commerce. En ne dĂ©posant pas ses comptes annuels, la sociĂ©tĂ© s’expose donc au risque que le PrĂ©sident du Tribunal de commerce ordonne une injonction de dĂ©poser les comptes, assortie d’une astreinte journaliĂšre mais aussi d’engager une procĂ©dure d’alerte prĂ©vue par l’article II du code de commerce. C’est pourquoi il est conseillĂ© de dĂ©poser les comptes annuels dĂšs la mise en demeure du greffe, et Ă  dĂ©faut, de rĂ©pondre immĂ©diatement Ă  l’injonction du PrĂ©sident du tribunal de commerce pour Ă©viter de payer une astreinte Ă©levĂ©e et l’éventuelle mise en place d’une procĂ©dure d’alerte permettant au PrĂ©sident d’obtenir des informations Ă©conomiques sur la sociĂ©tĂ©. II. Sur la sanction pĂ©nale du non-dĂ©pĂŽt des comptes annuels ConformĂ©ment Ă  l’article du code de commerce Le fait de ne pas satisfaire aux obligations de dĂ©pĂŽt prĂ©vues aux articles L. 232-21 Ă  L. 232-23 est puni de l’amende prĂ©vue par le 5e de l’article 131-13 du code pĂ©nal pour les contraventions de la cinquiĂšme classe. En cas de rĂ©cidive, la peine applicable est celle prĂ©vue par le 5e de l’article 131-13 du code pĂ©nal pour les contraventions de la cinquiĂšme classe commises en rĂ©cidive. » Le fait de ne pas dĂ©poser les comptes au greffe dans le dĂ©lai d’un mois Ă  compter de l’approbation des comptes par l’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale est donc puni d’une amende de 1 500 euros et 3 000 euros en cas de rĂ©cidive. Apparemment, l’article L. 232-23 du code de commerce fait peser l’obligation de dĂ©poser les comptes sur la sociĂ©tĂ©. La sociĂ©tĂ© devrait donc pouvoir ĂȘtre poursuivie pĂ©nalement par l’article R. 247-3 du code de commerce. Par ailleurs, la mise en cause d’une personne morale n’exclut pas l’engagement de poursuites Ă  l’encontre des personnes physiques, auteurs ou complices des mĂȘmes faits art. 121-2, al. 3 C. pĂ©nal. En Ă©tudiant la jurisprudence, certains arrĂȘts ont condamnĂ© le dirigeant Ă  titre personnel pour omission de dĂ©pĂŽt des comptes au regard de cette article Cour de cassation, Chambre crim. du 28 janvier 2009, Pourvoi nÂș L’opportunitĂ© des poursuites appartient au procureur qui pourra donc dĂ©cider de poursuivre la sociĂ©tĂ© et son PrĂ©sident. Il est Ă  rappeler que l’action est prescrite un an aprĂšs la date oĂč les comptes auraient dĂ» ĂȘtre dĂ©posĂ©s en l’absence d’acte interruptif du dĂ©lai de prescription. Il est Ă  prĂ©ciser que le commissaire aux comptes devra en principe dĂ©noncer cette infraction. 1. Sur le devoir d’alerte du commissaire aux comptes L’article L. 823-12 alinĂ©a 2 impose aux commissaires aux comptes de rĂ©vĂ©ler au procureur de la RĂ©publique les faits dĂ©lictueux dont ils ont eu connaissance. En pratique, les faits signalĂ©s sont souvent des infractions plus importantes comme le dĂ©lit d’abus de biens sociaux ou les infractions comptables applicables au dirigeant social. Pour autant, la doctrine considĂšre que le commissaire aux comptes doit rĂ©vĂ©ler tous les faits susceptibles d’une qualification pĂ©nale, y compris ceux constitutifs d’une simple contravention, comme le non-dĂ©pĂŽt des comptes sociaux Delattre Ch., Non-rĂ©vĂ©lation de dĂ©lit en lien avec le non dĂ©pĂŽt des comptes sociaux, Dr. sociĂ©tĂ©s 2016, Ă©tude 9. À cet Ă©gard, si le commissaire aux comptes n’a pas Ă  vĂ©rifier le respect de l’obligation de dĂ©pĂŽt par le dirigeant, auquel cas il n’a pas Ă  rĂ©vĂ©ler ce dont il n’a pas connaissance, en revanche, il a l’obligation de rĂ©vĂ©ler, et engage sa responsabilitĂ© pĂ©nale en s’abstenant, dĂšs lors qu’il est dĂ©montrĂ© qu’il avait connaissance du non-respect, par le dirigeant social, de cette obligation Delattre Ch., Non-rĂ©vĂ©lation de dĂ©lit en lien avec le non dĂ©pĂŽt des comptes sociaux, Dr. sociĂ©tĂ©s 2016, Ă©tude 9 ». Il est donc probable que le commissaire aux comptes dĂ©nonce le non dĂ©pĂŽt des comptes au procureur de la rĂ©publique, dĂšs lors qu’il en a eu connaissance. III. ResponsabilitĂ© civile du dirigeant et de la sociĂ©tĂ© 1. ResponsabilitĂ© civile du dirigeant Pour la sociĂ©tĂ©s anonyme, conformĂ©ment Ă  l’article du code de commerce Les administrateurs et le directeur gĂ©nĂ©ral sont responsables individuellement ou solidairement selon le cas, envers la sociĂ©tĂ© ou envers les tiers, soit des infractions aux dispositions lĂ©gislatives ou rĂ©glementaires applicables aux sociĂ©tĂ©s anonymes, soit des violations des statuts, soit des fautes commises dans leur gestion ». Ces dispositions s’appliquent Ă©galement pour le gĂ©rant de la sociĂ©tĂ© civile art. 1850 et de la SARL 223-22 code de commerce. Les associĂ©s pourraient donc probablement intenter une action pour demander rĂ©paration du prĂ©judice subi par la sociĂ©tĂ© en cas de non dĂ©pĂŽt des comptes par le gĂ©rant. En thĂ©orie, les associĂ©s pourraient donc probablement intenter une action pour demander rĂ©paration du prĂ©judice subi par la sociĂ©tĂ© en cas de non dĂ©pĂŽt des comptes par le gĂ©rant. NĂ©anmoins, le risque de prĂ©judice pour la sociĂ©tĂ© Ă©tant faible l’action ne pourra probablement pas aboutir. A l’égard des tiers, ils ne pourraient pas engager une action personnelle contre le prĂ©sident Ă©tant donnĂ© que les conditions d’une faute sĂ©parable de ses fonctions ne sont pas rĂ©unies 20 mai 2003. En consĂ©quence, le seul risque pour le gĂ©rant en matiĂšre de responsabilitĂ© civile pourrait venir de la sociĂ©tĂ© mais le prĂ©judice Ă©tant quasi-nul, le risque l’est Ă©galement. 2. Risque accrue de rĂ©vocation pour le prĂ©sident Il faut souligner que le non dĂ©pĂŽt des comptes constitue une faute lĂ©gale et contractuelle pour le dirigeant. DĂšs lors, les associĂ©s pourraient considĂ©rer que cela constitue une cause de rĂ©vocation de son mandat. Il faudrait savoir s’il existe des indemnitĂ©s en cas de rĂ©vocation et si elles pourraient ĂȘtre supprimĂ©es si la rĂ©vocation intervenait Ă  la suite d’une faute du dirigeant. C’est-Ă -dire vĂ©rifier les consĂ©quences statutaires en cas de faute du dirigeant qui peuvent ĂȘtre importante surtout en cas de mĂ©sentente entre associĂ©s. Il serait peut-ĂȘtre intĂ©ressant de faire une dĂ©lĂ©gation de pouvoir sur le dĂ©pĂŽt des comptes pour diminuer la responsabilitĂ© du PrĂ©sident mais cette possibilitĂ© nĂ©cessite d’ĂȘtre Ă©tudier. 3. Sur la responsabilitĂ© civile de la sociĂ©tĂ© En Ă©tudiant la jurisprudence, il s’avĂšre que le fait de ne pas respecter la rĂ©glementation du dĂ©pĂŽt des comptes peut fausser le jeu de la concurrence CA Versailles, 18 mars 2014, no RG 12/07662, SAS Domino’s pizza France c/SA Speed rabit pizza. Cette jurisprudence s’applique dans un contexte particulier des contrats de franchise, et mise Ă  part celle-ci, il ne semble pas possible qu’un tiers puisse engager la responsabilitĂ© civile de la sociĂ©tĂ© pour ne pas avoir dĂ©posĂ© ses comptes. MaĂźtre Bruno Planelles, Avocat au barreau de Paris 2 rue de Poissy 75005 Paris Site internet Exprime Avocat
30ans. Article 2272 du Code civil. Correspondance commerciale (bons de commandes, bons de livraison, etc.) 10 ans. à compter de la clÎture. de l'exercice comptable. Article L. 123-22 alinéa 2 du Code de commerce. Documents bancaires (relevés bancaires, talons de chÚque, etc.) 5 ans.
Ecrit le 03/09/2021 - Mise Ă  jour le 24/01/2022 Des obligations comptables diffĂ©rentes selon la taille du CSE Pour les petits CSE Pour les CSE de taille moyenne Pour les CSE de grande taille La gestion comptable du CSE Le rĂŽle du trĂ©sorier Les obligations comptables du CSE Logiciel de comptabilitĂ© CSE Les budgets du CSE Le budget de fonctionnement Le budget ASC DĂ©finir les budgets prĂ©visionnels Le bilan comptable du CSE Pour les petits CSE Pour les moyens CSE Pour les grands CSE Les comptes annuels du CSE Plan comptable du CSE ClĂŽture comptable du CSE Approbation des comptes modalitĂ©s et dĂ©lai Communication des documents annuels Le rĂŽle de l’expert comptable du CSE Les documents consultables par le CSE Notre guide sur les obligations comptables du CSE Depuis 1945, le ComitĂ© d’Entreprise s’est offert une place de choix aux cĂŽtĂ©s des salariĂ©s Français. En 2020, il a Ă©voluĂ© vers le CSE, une instance dont les missions reprennent celles du CE, des dĂ©lĂ©guĂ©s du personnel et du CHSCT. En matiĂšre de comptabilitĂ©, les prĂ©rogatives du CSE sont Ă  peu prĂšs similaires Ă  celles de l’ex-CE. Des obligations comptables diffĂ©rentes selon la taille du CSE Le CSE est soumis aux obligations comptables des commerçants c. com. art. L. 123-12 quel que soit le niveau de ressources, mais les obligations diffĂšrent selon la taille. - Pour les petits CSE Les petits CSE sont les CSE qui disposent de ressources annuelles budgets des Ɠuvres sociales cumulĂ©es et de fonctionnement infĂ©rieures Ă  153 000 €. Ces instances peuvent se contenter dune comptabilitĂ© ultra simplifiĂ©e » d’aprĂšs les articles D. 612-5 du Code de commerce et D. 2325-11 du Code du travail. Leurs obligations se rĂ©sument Ă  une tenue de compte allĂ©gĂ©e =dĂ©penses-recettes, selon l’article L. 2315-65 du Code du travail. ConcrĂštement, ils doivent Tenir un livre chronologique qui retrace chronologiquement les montants et l’origine des dĂ©penses et recettes ; Distinguer les opĂ©rations relevant des Attributions Économiques et Professionnelles AEP de celles des ActivitĂ©s sociales et Culturelles ASC ; Mettre en Ɠuvre un Ă©tat de synthĂšse simplifiĂ© qui porte sur des informations supplĂ©mentaires liĂ©es Ă  ses obligations en cours et son patrimoine. S’il est permis de tenir le livre manuellement, il est conseillĂ© d’utiliser un logiciel comptable. NB Pour dĂ©terminer le montant des ressources, on cumulera la subvention de fonctionnement et celle des ASC en dĂ©duisant, le cas Ă©chĂ©ant, le montant reversĂ© au CSE Central ou comitĂ© Interentreprises. - Pour les CSE de taille moyenne Les CSE de taille moyenne ont des ressources annuelles dĂ©passant 153 000 €, mais qui n'excĂšdent pas au moins deux des trois seuils fixĂ©s par le dĂ©cret D. 2315-33 du Code du travail. Voici les trois seuils 50 salariĂ©s, 3,1 M€ de ressources et 1,55 M€ de bilan. Ces CSE peuvent appliquer une prĂ©sentation simplifiĂ©e » de leurs comptes c’est-Ă -dire la comptabilisation des recettes et dĂ©penses durant toute l’annĂ©e et l’enregistrement des dettes et de crĂ©ances Ă  la clĂŽture de l’exercice. Les comptes annuels des CSE de taille moyenne doivent ĂȘtre prĂ©sentĂ©s Ă  un expert-comptable et nĂ©cessitent d’avoir recours Ă  un logiciel comptable. - Pour les CSE de grande taille Les CSE de grande taille sont les CSE ayant excĂ©dĂ© au moins deux des trois critĂšres Ă©voquĂ©s auparavant. Ils doivent alors Adopter une comptabilitĂ© de droit commun appropriĂ©e au Code du Commerce code du travail Article D. 2315-64,1 ; code du commerce article L. 113-12 ; Mettre en place une comptabilitĂ© d’engagement appelĂ©e CrĂ©ances et dettes » ; Élaborer une prĂ©sentation de comptes annuels complets contenant une annexe, un compte de rĂ©sultat et un bilan ; PrĂ©senter les comptes annuels Ă  un expert-comptable ; DĂ©signer un Commissaire aux comptes CAC pour 6 exercices le montant de la certification par le CAC est supportĂ© par le CSE sur la subvention de fonctionnement ; Instaurer une commission de marchĂ©s pour les marchĂ©s dont le montant excĂšde 30 000 €. La gestion comptable du CSE - Le rĂŽle du trĂ©sorier Pour la bonne gestion comptable du CSE, le trĂ©sorier du CSE joue un rĂŽle crucial. Il permet au CSE d’ĂȘtre autonome financiĂšrement et juridiquement en assurant la gestion comptable et budgĂ©taire de l’instance. Le Code du travail ne dĂ©finit pas la fonction du trĂ©sorier son rĂŽle doit ĂȘtre mĂ©ticuleusement dĂ©fini dans le rĂšglement intĂ©rieur du CSE. L’intervention du trĂ©sorier prend en compte la gestion financiĂšre et comptable du comitĂ©. Il doit tenir les comptes, gĂ©rer le patrimoine et les finances de l’instance en veillant au respect des deux budgets et aux dĂ©penses. Enfin, il est chargĂ© de prĂ©parer le compte rendu de gestion de fin de mandat et le compte rendu annuel de gestion ou encore assurer l’approbation des comptes par l’expert-comptable quand cela est nĂ©cessaire. En somme, le trĂ©sorier met en Ɠuvre les dĂ©cisions du CSE sur le plan financier. - Les obligations comptables du CSE Pour tous les CSE, la tenue d’une comptabilitĂ© est plus qu’essentielle. Ils doivent, en effet, respecter les obligations comptables suivantes selon les articles L2325-45 et L123-12 du code de commerce un enregistrement comptable des mouvements un inventaire Ă  faire une fois par an un Ă©tablissement des comptes annuels Ă  la fin de l’exercice une obligation de donner des informations sur des conventions importantes [article L. 2315-66 du Code du travail], une obligation d’établir un rapport de gestion [article L. 2315-69 du Code du travail], une obligation d’élaborer un rapport sur les accords passĂ©s entre le comitĂ© et l’un de ses membres [article L. 2315-70 du Code du travail], une obligation de faire un rapport au nouveau comitĂ© une fois l’instance renouvelĂ©e - Logiciel de comptabilitĂ© CSE L’utilisation d’un logiciel de comptabilitĂ© adaptĂ© aux moyens dont le CSE dispose et Ă  ses besoins est indispensable. En effet, les CSE disposant des ressources excĂšdant 153 000 euros doivent au minimum utiliser un logiciel comptable appropriĂ© aux dispositions rĂ©glementaires distinction des 2 budgets ; respect du plan comptable ; sĂ©curisation des Ă©critures. Toutefois, pour gĂ©rer les prestations de plusieurs centaines de salariĂ©s, il est recommandĂ© d’acquĂ©rir un outil spĂ©cialisĂ© comprenant une gestion des prestations, une gestion des bĂ©nĂ©ficiaires et une comptabilitĂ© en partie automatisĂ©e. Le logiciel de gestion et comptabilitĂ© tout-en-un de ProwebCE facilite le quotidien des Ă©lus et en particulier du trĂ©sorier en intĂ©grant, entre autres, le dĂ©versement automatique des Ă©critures comptables lorsqu’un bĂ©nĂ©ficiaire rĂ©serve une activitĂ© via le site internet ou l’application mobile du CSE. Les budgets du CSE Le CSE dispose de deux budgets autonomes qui ne peuvent ĂȘtre confondus. les attributions Ă©conomiques et professionnelles AEP aussi appelĂ© budget de fonctionnement l’employeur doit verser une subvention de fonctionnement d’un montant annuel Ă©quivalent Ă  0,2 % de la masse salariale brute art. L 2315-61 du C. tr. dans les entreprises de cinquante Ă  deux milles salariĂ©s et 0,22 % dans les entreprises d’au moins deux mille salariĂ©s ; les attributions pour les activitĂ©s sociales et culturelles ASC ou budget ASC le montant de cette contribution rĂ©sulte de la nĂ©gociation ou des dĂ©penses dĂ©jĂ  rĂ©alisĂ©es par l’entreprise au titre des activitĂ©s sociales et culturelles au cours de la derniĂšre annĂ©e prĂ©cĂ©dant la prise en charge des activitĂ©s sociales et culturelles par le CSE articles L 2312-78 Ă  L 2312-80 du Code travail - Le budget de fonctionnement La subvention de fonctionnement doit permettre au comitĂ© de fonctionner de maniĂšre autonome, afin de couvrir les dĂ©penses liĂ©es Ă  l'administration courante et d'exercer ses attributions Ă©conomiques et professionnelles. Les tĂąches administratives et comptables, Ă  savoir - Les frais courants de fonctionnement fournitures de bureau, frais de communication de tĂ©lĂ©phone et internet, frais postaux, frais liĂ©s Ă  l'Ă©dition et Ă  la diffusion de compte-rendu de rĂ©union, etc. ; - Les salaires et charges sociales des personnes recrutĂ©es Ă  titre permanent ou temporaire par le comitĂ© et affectĂ©es Ă  des postes liĂ©s au fonctionnement administratif du comitĂ©, recours Ă  une sociĂ©tĂ© prestataire pour la rĂ©daction des PV de CSE ; - Les frais liĂ©s Ă  l'Ă©dition de bulletins ou revues Ă©ditĂ©s par le comitĂ© ; - Les frais occasionnĂ©s par les dĂ©placements des membres du comitĂ© et des reprĂ©sentants syndicaux ; Les activitĂ©s d’expertise et missions Ă©conomiques - Payer les honoraires des experts libres juriste, d'un ergonome, d'un Ă©conomiste, d’un expert-comptable ; - Se faire assister par un expert-comptable pour l’établissement de sa comptabilitĂ© recours obligatoire lorsque les ressources annuelles sont supĂ©rieures Ă  153 000 €. - Se faire assister d’un expert-comptable dans le cadre de la consultation annuelle sur la stratĂ©gie de l’entreprise. Ces honoraires sont pris en charge par l’employeur, et par le CSE Ă  hauteur de 20% dans la limite du tiers de son budget annuel, sauf accord plus favorable avec l’employeur. - Acheter de la documentation technique ; - Financer des campagnes d'information en direction du personnel recours Ă  des sondages chargĂ©s d'interroger les salariĂ©s, diffusion de plaquettes, Ă©dition de revues. La subvention de fonctionnement sert Ă  financer les actions de formation. Les membres titulaires du comitĂ© bĂ©nĂ©ficient d'un stage de formation Ă©conomique d'une durĂ©e maximale de cinq jours, formation renouvelĂ©e lorsqu'ils ont exercĂ© leur mandat pendant quatre ans, consĂ©cutifs ou non. Le financement de la formation frais d'enseignement, de transport, d'hĂ©bergement est pris en charge par le comitĂ© sur son budget de fonctionnement. - Le budget ASC A cĂŽtĂ© de ses missions Ă©conomiques, le CSE est chargĂ© de mettre en place des activitĂ©s sociales et culturelles au bĂ©nĂ©fice des salariĂ©s, de leur famille et des stagiaires. Pour cela, l’instance met en place un budget ASC. La notion d’ActivitĂ©s Sociales et Culturelles est dĂ©finie par l’article L. 2323-83 du Code du travail ; l’ActivitĂ© sociale et culturelle doit ĂȘtre 1° Facultative tout ce qui incombe lĂ©galement Ă  l'employeur en matiĂšre sociale Ă©chappe Ă  la gestion du CSE. En revanche, les activitĂ©s sociales mises en place par l'employeur alors qu'il n'a pas d'obligation lĂ©gale restent du domaine de la responsabilitĂ© du CSE qui peut, Ă  tout moment, en revendiquer la prise en charge avec les moyens financiers correspondants. 2° Viser Ă  l'amĂ©lioration des conditions de vie et de travail notion trĂšs vaste qui peut viser par exemple la mise en place d'un restaurant d'entreprise, la participation au financement de titres-restaurants, l'institution des activitĂ©s Ă©ducatives et culturelles prĂȘt de livres, de CD, service de billetterie, etc... 3° Concerner prioritairement le personnel de l’entreprise le CSE doit rĂ©server les activitĂ©s sociales et culturelles prioritairement aux salariĂ©s ou Ă  leur famille. Tous les salariĂ©s doivent pouvoir en bĂ©nĂ©ficier quelle que soit la nature de leur contrat de travail CDI, CDD, contrats aidĂ©s temps complet et temps partiel. Les salariĂ©s en pĂ©riode d'essai ou en prĂ©avis doivent Ă©galement pouvoir bĂ©nĂ©ficier des activitĂ©s sociales et culturelles. La notion de famille n'a pas Ă©tĂ© dĂ©finie par la loi le CSE peut ouvrir les droits au conjoint, au concubin, au partenaire d'un pacs, aux ascendants et descendants Ă  charge, etc. Il peut Ă©galement restreindre son champ d'intervention Ă  certains membres de la famille ou subordonner le bĂ©nĂ©fice d'une activitĂ© sociale Ă  certaines conditions limitatives telles que l'Ăąge des enfants. 4° Etre attribuĂ©e de maniĂšre non discriminatoire le CSE ne peut pas s'appuyer sur des critĂšres par nature discriminatoires comme l'Ăąge, le sexe, l'origine, l'appartenance Ă  une religion ou Ă  un syndicat pour faire varier le montant de sa participation Ă  une activitĂ© sociale. Il ne peut pas exclure une catĂ©gorie du personnel du bĂ©nĂ©fice d'une activitĂ©. En revanche, il peut moduler les prestations en fonction de la situation des bĂ©nĂ©ficiaires revenus du salariĂ©, nombre d'enfants Ă  charge, quotient familial. - DĂ©finir les budgets prĂ©visionnels L’établissement de budgets prĂ©visionnels pour les AEP et les ASC est obligatoire pour les moyens » et gros » CSE. L’article D. 2325-14 I – 3° c prĂ©voit que le rapport d’activitĂ© comporte les Ă©lĂ©ments d’analyse portant sur les Ă©carts entre le budget prĂ©visionnel et le budget rĂ©alisĂ© ». Le budget exprime les choix des Ă©lus. Le budget n'est pas un document figĂ©, il doit ĂȘtre suivi et peut ĂȘtre réévaluĂ© en cours d’annĂ©e budget rectificatif. La dĂ©marche d’élaboration du budget des ASC est la suivante Faire un Ă©tat des lieux Quelles sont les activitĂ©s existantes ? Connaissance des satisfactions du personnel Ă  travers un sondage. Diagnostic des besoins et des attentes en matiĂšre de prestations. Constituer un fichier du personnel Les besoins du personnel peuvent varier en fonction de la moyenne d'Ăąge des salariĂ©s et ayants droits, de leur niveau de revenus, de leur situation familiale, de leur situation gĂ©ographique etc. Il est donc indispensable de connaĂźtre la population des bĂ©nĂ©ficiaires salariĂ©s et ayants droits. Estimer les ressources En se basant sur la dotation de l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente, en anticipant les Ă©volutions des effectifs, en questionnant l’entreprise sur la masse salariale prĂ©visionnelle. Choix du type de prestations Il existe principalement deux catĂ©gories de prestations offertes par un comitĂ© Ă  ses salariĂ©s - Les prestations proposĂ©es en contrepartie d’une participation du salariĂ© ; - L’attribution de subventions remboursement totale ou partielle de dĂ©penses sur justificatifs. Organiser des commissions - DĂ©finir la nature des prestations Ă  proposer distribution gratuite ou avec participation, remboursement sur factures, prestations de groupe ou individuelles ; - Regrouper les prestations au sein de commissions ou pĂŽles de consommation ; - Affecter Ă  chaque pĂŽle un budget de dĂ©penses et Ă©valuer la cohĂ©rence et l’équilibre budgĂ©taire des commissions. DĂ©finir les rĂšgles d’attribution Choisir quel seront les bĂ©nĂ©ficiaires salariĂ©s et/ou famille ; DĂ©finir des plafonds Participation plafonnĂ©e en montant ou en %, QuantitĂ© billetterie plafonnĂ©e par mois / par annĂ©e, durĂ©e des sĂ©jours plafonnĂ©e en semaine / en nuitĂ©e, etc... Le bilan comptable du CSE - Pour les petits CSE Le CSE dont les ressources annuelles sont infĂ©rieures Ă  153 000 € prĂ©sente chaque annĂ©e Un Ă©tat des dĂ©penses et recettes selon le modĂšle figurant Ă  l’article 3 du rĂšglement ANC Un Ă©tat annuel de la situation patrimoniale portant sur les biens & placements, les stocks, l’état de ses crĂ©ances et dettes, ses disponibilitĂ©s et ses emprunts & dettes. cf article 4 du rĂšglement ANC 2015-02. - Pour les moyens CSE Le CSE dont les ressources annuelles sont > Ă  153 000 € et qui ne remplissent pas au moins deux des trois critĂšres fixĂ©s par dĂ©cret 3,1 M€ de ressources, 1,55 M€ de bilan et 50 salariĂ©s peuvent bĂ©nĂ©ficier d’une prĂ©sentation simplifiĂ©e de leurs comptes annuels tout en appliquant les rĂšgles de droit commun Mise en place d’une comptabilitĂ© d’engagement ; PrĂ©sentation de comptes annuels bilan ; compte de rĂ©sultat, annexe ; Nomination d’un Commissaire aux comptes pour 6 exercices ; le coĂ»t de la certification est supportĂ© par le CSE sur sa subvention de fonctionnement. Mise en place d’une commission des marchĂ©s pour les marchĂ©s dont le montant sera supĂ©rieur Ă  30 000 €. Ils doivent au minimum respecter les modĂšles prĂ©vus au rĂšglement 2015-01 de l’ANC. Soit un compte de rĂ©sultat simplifiĂ© faisant apparaĂźtre les charges en produits par nature en distinguant les deux sections La section ActivitĂ©s Économiques et Professionnelles » enregistrant les opĂ©rations relevant des attributions Ă©conomiques dĂ©finies Ă  l’article du code du travail ; La section ActivitĂ©s Sociales et Culturelles » enregistrant les opĂ©rations relevant des attributions en matiĂšre d’activitĂ©s sociales et culturelles dĂ©finies aux articles Ă  du code du travail. Pour les produits et charges relevant des deux sections, les modalitĂ©s de dĂ©termination des clĂ©s de rĂ©partition doivent ĂȘtre mentionnĂ©es dans l’annexe des comptes. Au bilan, les fonds propres doivent ĂȘtre prĂ©sentĂ©s par section. En plus des informations Ă  mentionner dans l’annexe selon les dispositions des rĂšglements CRC n°99-01 et ANC n°2014-03, le CSE doit mentionner le montant des ressources perçues au cours de l’exercice ; qui peut ĂȘtre prĂ©sentĂ© sous forme de tableau cf ANC 2015-01 art. 7 les informations relatives aux modalitĂ©s de dĂ©termination des clĂ©s de rĂ©partition utilisĂ©es pour ventiler les charges communes aux deux sections. les informations au titre des transactions significatives effectuĂ©es pendant l’exercice dans le cadre de l’exercice de ses missions. - Pour les grands CSE Obligation de nommer un commissaire aux comptes Les CSE qui dĂ©passe au moins deux des trois critĂšres 3,1 M€ de ressources, 1,55 M€ de bilan et 50 salariĂ©s ainsi que les CSE tenus d'Ă©tablir des comptes consolidĂ©s, sont tenus de faire certifier leurs comptes par un commissaire aux comptes. Les CSE doivent nommer au moins un commissaire aux comptes et un supplĂ©ant, distincts de ceux de l'entreprise. Le comitĂ© tenu d'Ă©tablir des comptes consolidĂ©s doit nommer 2 commissaires aux comptes. Le coĂ»t de la certification des comptes annuels doit ĂȘtre pris en charge par le comitĂ© sur sa subvention de fonctionnement C. trav. art. L 2325-54 et L 2325-55 nouveaux. Le commissaire aux comptes est investi d'un droit d'alerte lorsqu'il relĂšve, Ă  l'occasion de sa mission, des faits de nature Ă  compromettre la continuitĂ© de l'exploitation du comitĂ© Art. R. 2325-17. L’information doit ĂȘtre adressĂ©e sans dĂ©lai au secrĂ©taire et au prĂ©sident du comitĂ© par tout moyen propre Ă  donner une date certaine Ă  sa rĂ©ception. Le secrĂ©taire doit rĂ©pondre dans un dĂ©lai de 30 jours afin de donner son analyse de la situation et, le cas Ă©chĂ©ant, de prĂ©ciser les mesures envisagĂ©es Art. R. 2325-18. CrĂ©ation d’une commission des marchĂ©s Une commission des marchĂ©s doit ĂȘtre instaurĂ©e au sein des CSE qui dĂ©passe au moins deux des trois critĂšres 3,1 M€ de ressources, 1,55 M€ de bilan et 50 salariĂ©s Art. R. 2325-4-1. Le CSE dĂ©terminera, sur proposition de la commission des marchĂ©s, les critĂšres retenus pour le choix des fournisseurs et prestataires et la procĂ©dure des achats de fournitures, de services et de travaux. La commission des marchĂ©s intervient pour les marchĂ©s au-delĂ  de 30 000 €. Elle devra Ă©tablir un rapport d’activitĂ© annuel, annexĂ© au rapport de gestion. Les comptes annuels du CSE - Plan comptable du CSE Les comptes annuels sont Ă©tablis conformĂ©ment au nouveau plan comptable des personnes morales de droit privĂ© Ă  but non lucratif ANC 2018-06 applicable aux exercices ouverts Ă  compter du 1er janvier 2020, et du rĂšglement 2015-01 du 2 avril 2015 relatif aux comptes des comitĂ©s sociaux et Ă©conomiques, des comitĂ©s centraux d’entreprise et des comitĂ©s interentreprises relevant de l’article L. 2325-45 du code du travail. La nomenclature des comptes de fonds propres ainsi que les comptes de charges et de produits du plan comptable gĂ©nĂ©ral sont Ă  dĂ©cliner pour chaque section section Attributions Ă©conomiques et professionnelles AEP » et section ActivitĂ©s sociales et culturelles ASC ». Les comptes spĂ©cifiques aux CSE sont les suivants Article 8 du rĂšglement ANC n°2015-01 Comptes de capitaux 1061 RĂ©serves attributions Ă©conomiques et professionnelles » 1062 RĂ©serves activitĂ©s sociales et culturelles » 1101 Report Ă  nouveau attributions Ă©conomiques et professionnelles » 1102 Report Ă  nouveau activitĂ©s sociales et culturelles » 1191 Report Ă  nouveau attributions Ă©conomiques et professionnelles » 1192 Report Ă  nouveau activitĂ©s sociales et culturelles » 1201 RĂ©sultat de l’exercice attributions Ă©conomiques et professionnelles » 1202 RĂ©sultat de l’exercice activitĂ©s sociales et culturelles » 1291 RĂ©sultat de l’exercice attributions Ă©conomiques et professionnelles » 1292 RĂ©sultat de l’exercice activitĂ©s sociales et culturelles » Comptes de produits 7403 Autres subventions 75601 Subvention de fonctionnement reçue de l’employeur 75602 Contribution reçue de l’employeur Le compte 41 et ses subdivisions sont intitulĂ©s bĂ©nĂ©ficiaires ». - ClĂŽture comptable du CSE Chaque exercice comptable s’achĂšve par la cessation des comptes annuels. En effet, tous les comptes qui figurent dans la comptabilitĂ© du CSE sont soldĂ©s et figĂ©s pour passer Ă  l’exercice suivant. Ainsi, Ă  la fin de l’exercice comptable, l’arrĂȘtĂ© des comptes du CSE consiste Ă  prĂ©senter les comptes annuels du CSE tout en figeant le bilan comptable Ă  un moment X. L’arrĂȘtĂ© des comptes doit ĂȘtre effectuĂ© par des membres Ă©lus du CSE dĂ©signĂ©s par lui et au sein de ses membres Ă©lus C. trav. art. L 2325-49 nouveau. Ni l'employeur, ni les reprĂ©sentants syndicaux du CSE ne participent Ă  l'arrĂȘtĂ© de ces comptes. Les modalitĂ©s selon lesquelles les comptes annuels du CSE sont arrĂȘtĂ©s, doivent ĂȘtre fixĂ©es par son rĂšglement intĂ©rieur. Pour tout savoir sur l’arrĂȘtĂ© des comptes, consultez notre article dĂ©diĂ© sur la clĂŽture comptable du CSE. - Approbation des comptes modalitĂ©s et dĂ©lai Les comptes annuels sont approuvĂ©s par les membres Ă©lus du comitĂ© rĂ©unis en sĂ©ance plĂ©niĂšre au cours d'une rĂ©union portant sur ce seul sujet et faisant l'objet d'un procĂšs-verbal spĂ©cifique C. trav. art. L 2325-49 nouveau. Les comptes annuels ou les documents mentionnĂ©s Ă  l’article L. 2325-46 sont approuvĂ©s dans un dĂ©lai de six mois Ă  compter de la clĂŽture de l’exercice Art. R. 2325-13. Le dĂ©lai peut ĂȘtre prolongĂ© Ă  la demande du comitĂ© par ordonnance du prĂ©sident du tribunal de grande instance statuant sur requĂȘte. - Communication des documents annuels Selon le Code du travail article L 2325-53 nouveau, les comptes annuels et le rapport de gestion et d’activitĂ© doivent ĂȘtre communiquĂ©s aux salariĂ©s de l’entreprise, une fois approuvĂ©s, et ce par tout moyen. Le rĂŽle de l’expert comptable du CSE L’Expert-comptable certifie les comptes annuels du CSE une fois les prĂ©sentations complĂ©tĂ©es. Il vĂ©rifie la conformitĂ© des informations et rectifie si nĂ©cessaire. Obligatoire Ă  partir des moyens CSE, ses honoraires sont Ă  la charge du comitĂ© et Ă  inclure dans le budget de fonctionnement. Les CSE d’entreprises d’au moins 50 salariĂ©s doivent faire appel Ă  un expert-comptable, expert technique ou expert agréé dans le cas prĂ©vu par le Code du travail Code du travail article L. 2315-78. Cela concerne donc les moyens et grands CSE. Un certain nombre d’expertises sont intĂ©gralement financĂ©es par l’employeur La consultation sur la situation Ă©conomique et financiĂšre de l’entreprise La consultation sur la politique sociale, les conditions de travail et de l’emploi Les projets de licenciements Ă©conomiques avec PSE Certaines expertises doivent ĂȘtre financĂ©es Ă  hauteur de 20% par le CSE, notamment la consultation sur les orientations stratĂ©giques de l’entreprise et les expertises ponctuelles. Consultez notre article sur l’accompagnement des Ă©lus par des experts-comptables pour certifier les comptes du CSE ! Les documents consultables par le CSE Les dossiers comptables du CSE doivent ĂȘtre archivĂ©s. En aucune maniĂšre, le trĂ©sorier n’a le droit de dĂ©truire les dossiers comptables du CSE. En effet, il faut qu’il connaisse les documents comptables CSE Ă  conserver et qu’il se rende compte pourquoi doit-on les sauvegarder. La conservation des documents doit se faire pendant un dĂ©lai. Dans le cas contraire, le CSE s’expose Ă  de grands risques comme le rejet de sa comptabilitĂ©. Il risque, Ă©galement, de recevoir une sanction fiscale, ce qui peut nĂ©cessiter la responsabilitĂ© de son trĂ©sorier. Concernant les dĂ©lais de conservation, ils dĂ©pendent du type de documents comptables dont il s’agit. Le dĂ©lai de conservation des comptes annuels et, le cas Ă©chĂ©ant, et les documents Ă  l’article L. 2325-46, ainsi que toutes les piĂšces justificatives qui s’y rapportent est de dix ans Ă  compter de la date de la fin de l’exercice auquel les comptes se rapportent. Code du travail, article L. 2325-56 nouveau. Les documents juridiques et comptables Pour les livres comptables obligatoires journal, inventaire, grand livre, le dĂ©lai de conservation est d’au moins 10 ans Ă  compter de la cessation du livre d’aprĂšs l’article L. 123-22 du Code de Commerce. Concernant les comptes annuels le compte de rĂ©sultat, le bilan et l’annexe, c’est 10 ans Ă  partir de la clĂŽture de l’exercice comptable. Les registres juridiques obligatoires registre des PV doivent ĂȘtre conservĂ©s au moins durant 6 ans. Les statuts de l’entreprise au minimum 5 ans aprĂšs que la sociĂ©tĂ© soit radiĂ©e au Registre du Commerce et des SociĂ©tĂ©s [article L. 2224 du Code civil], mais il est prĂ©fĂ©rable de les conserver et de les archiver Ă  vie. Les documents commerciaux les contrats entre commerçants et entre un non commerçant et un commerçant sont Ă  garder au moins 5 ans selon l’article L. 110-4 du Code de Commerce. Pour les contrats des biens immobiliers, la durĂ©e d’archivage est de 30 ans selon l’article 2272 du Code civil. Les contrats concernant les bons de livraisons, bons de commandes, factures fournisseurs et clients et les documents bancaires doivent ĂȘtre conservĂ©s au moins 10 ans Ă  compter de la fin de l’exercice comptable stipulĂ© par l’article article L. 123-22 du Code de Commerce.
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Par mesure de sĂ©curitĂ© et de qualitĂ© du Service, le Club de L'Immo dĂ©sactive les comptes des Membres privilĂšge Ă  l'issue de la pĂ©riode choisie et en informe le membre par courriel 48 h 00 avant cette action. Article 3. Utilisation de MonCompte le Club de L'Immo Une fois inscrit, et sous rĂ©serve de disposer le cas Ă©chĂ©ant d'un MonCompte, le Membre privilĂšge bĂ©nĂ©ficiera d'un accĂšs aux Services disponibles sur Le prix et les modalitĂ©s de paiement des diffĂ©rents Services Payants sont dĂ©taillĂ©s dans l'article "Prix et modalitĂ©s de paiement" des prĂ©sentes Conditions d'Utilisation et sont accessibles Ă  tout moment sur le site lors de la prĂ©sentation ou de l'utilisation du ou des Services Payants auxquels le Membre souhaite souscrire, ainsi que leurs tarifs respectifs. Obligations du Club de L'Immo le Club de L'Immo assure Ă  distance et par voie Ă©lectronique la fourniture d'un Service d'aide Ă  la recherche de logement, et ou d'aide Ă  la diffusion d'une offre de logement, sur Internet, ainsi que des services d'informations. L'objet du Club de L'Immo n'est pas la fourniture d'un accĂšs au rĂ©seau Internet, ni la fourniture d'un Service de communication Ă©lectronique au public. L'objet de Ă©tant intimement liĂ© Ă  une activitĂ© immobiliĂšre, le Club de L'Immo organise le contrĂŽle des donnĂ©es sur les offres de logement de façon Ă  respecter le cadre lĂ©gal en vigueur. En consĂ©quence, Les membres privilĂšge de s'engagent Ă  s'identifier clairement et reconnaissent leur responsabilitĂ© personnelle en cas de tromperie sur leur qualitĂ©. le Club de L'Immo s'engage Ă  mettre en Ɠuvre les moyens nĂ©cessaires au contrĂŽle des informations diffusĂ©es sur sans pour autant pouvoir ĂȘtre tenu pour responsable des fausses dĂ©clarations faites par un Membre. Obligations du Membre privilĂšge Les dispositions du prĂ©sent article s'appliquent sans prĂ©judice de l'article "RĂ©siliation". Dans le cadre de l'utilisation des Services, le Membre s'engage Ă  se conformer aux lois en vigueur, Ă  respecter les droits des tiers et les dispositions des prĂ©sentes Conditions d'Utilisation. Obligations gĂ©nĂ©rales Le Membre privilĂšge a, de maniĂšre gĂ©nĂ©rale, pour obligation de Se comporter de façon loyale Ă  l'Ă©gard du Club de L'Immo et des autres Membres. Respecter les droits de propriĂ©tĂ© intellectuelle affĂ©rents aux contenus fournis par le Club de L'Immo et par les autres Membres et Membres privilĂšge. S'engage Ă  respecter la lĂ©gislation en vigueur en matiĂšre de transaction immobiliĂšre, location, mise en vente et mise en location d'un bien. Obligations Fondamentales Le Membre privilĂšge a pour Obligations Fondamentales de Ne poster, n'indiquer ou ne diffuser sous quelque forme que ce soit que des informations ou contenus conformes Ă  la rĂ©alitĂ©. Ne pas tenir ou profĂ©rer des propos ou diffuser sous quelque forme que ce soit des contenus contrevenant aux droits d'autrui ou Ă  caractĂšre diffamatoire, injurieux, obscĂšne, offensant, violent ou incitant Ă  la violence, politique, raciste ou xĂ©nophobe et de maniĂšre gĂ©nĂ©rale tout contenu contraire Ă  l'objet du Club de L'Immo, aux lois et rĂšglements en vigueur, aux droits personnes ou aux bonnes mƓurs. En particulier, les photos, vidĂ©os et toutes informations, donnĂ©es ou fichiers fournis par un Membre au Club de L'Immo doivent ĂȘtre dĂ©cents et se rapporter exclusivement au Membre ou, s'ils se rapportent Ă  un tiers, avec son autorisation exprĂšs et sous la responsabilitĂ© exclusive du Membre concernĂ©. Ne pas poster, indiquer, ni diffuser sous quelque forme que ce soit des informations ou contenus intĂ©grant des liens vers des sites tiers qui auraient un caractĂšre illĂ©gal, contraires aux bonnes mĂșurs et/ou non conformes Ă  l'objet du Club de L'Immo. Utiliser ses mots de passe et/ou identifiants selon leur stricte finalitĂ© d'authentification aux Services. A cet Ă©gard, le Membre privilĂšge ne doit pas, sans que cette liste ne soit limitative, communiquer, diffuser, partager, rendre accessible, de quelle que façon que ce soit, ses mots de passe et/ou identifiants Ă  tout tiers. Utiliser les Services conformĂ©ment Ă  la finalitĂ© dĂ©crite dans les prĂ©sentes Conditions d'Utilisation. Le manquement aux Obligations Fondamentales ainsi dĂ©finies constitue un manquement grave du Membre privilĂšge Ă  ses obligations. Sans prĂ©judice des dispositions de l'article " RĂ©siliation ", en cas de manquement par un Membre Ă  une ou plusieurs de ces Obligations Fondamentales, le Club de L'Immo pourra rĂ©silier le contrat et supprimera dĂ©finitivement le compte du Membre privilĂšge concernĂ©. Article 4. Prix et modalitĂ©s de paiement L'utilisation des Services Payants suppose que le Membre privilĂšge dispose d'un compte. Le prix et les modalitĂ©s de paiement des diffĂ©rents Services Payants sont prĂ©sentĂ©s ci-dessous et sont constamment accessibles sur le site le Club de L'Immo et au plus tard lors de la prĂ©sentation ou de l'utilisation du ou des Services Payants auxquels le Membre souhaite souscrire, ainsi que de leurs tarifs respectifs. Membre privilĂšgeaccĂ©dant Ă  la location Prestation immĂ©diate 210 € TTC Les prix sont indiquĂ©s en euros TTC toutes taxes comprises. Si les contacts fournis le jour de la signature de la convention n'aboutissaient pas, le souscripteur aura accĂ©s, gratuitement pendant 4 mois, Ă  l'actualisation de son fichier d'offres. Pour connaĂźtre le dĂ©tail de toutes les offres le Club de L'Immo, allez sur la page LOCATIONS du site Le Membre privilĂšge peut Ă  tout moment notifier au Club de L'Immo son souhait de rĂ©silier son compte privilĂšge. La rĂ©siliation prendra effet Ă  la date d'Ă©chĂ©ance du Compte privilĂšge en cours, conformĂ©ment aux dispositions de l'ARTICLE 8 ci-dessous "RĂ©siliation" sans qu'il puisse pour autant se prĂ©valoir d'un remboursement de l'inscription au prorata temporis. A l'expiration du compte privilĂšge le Club de L'Immo, celui-ci sera, sauf rĂ©siliation notifiĂ©e par le Membre privilĂšge au Club de L'Immo avant l'Ă©chĂ©ance du Compte privilĂšge le Club de L'Immo en cours. Article 5 - Informatiques et LibertĂ©s En application de la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978, il est rappelĂ© que les donnĂ©es nominatives qui sont demandĂ©s au Client sont nĂ©cessaires au traitement de sa commande et sont destinĂ©es Ă  un usage interne par le Prestataire. Ces donnĂ©es nominatives peuvent nĂ©anmoins ĂȘtre transmises Ă  des tiers, partenaires du Prestataire. Le Client dispose donc d'un droit d'accĂšs, de modification, de rectification et d'opposition s'agissant des informations le concernant, dans les conditions prĂ©vues par la loi et la rĂ©glementation en vigueur. Article 6. PropriĂ©tĂ© intellectuelle Contenus diffusĂ©s par le Club de L'Immo Les marques notamment "compte privilĂšge", "mes selections", "mes visites", les logos, les graphismes, les photographies, les animations, les vidĂ©os et les textes contenus sur le site le Club de L'Immo et dans le Service le Club de L'Immo sont la propriĂ©tĂ© intellectuelle du Club de L'Immo ou de ses partenaires et ne peuvent ĂȘtre reproduits, utilisĂ©s ou reprĂ©sentĂ©s sans l'autorisation expresse du Club de L'Immo ou de ses partenaires, sous peine de poursuites judiciaires. Les droits d'utilisation concĂ©dĂ©s par le Club de L'Immo au Membre sont strictement limitĂ©s Ă  l'accĂšs, au tĂ©lĂ©chargement, Ă  l'impression, Ă  la reproduction sur tous supports disque dur, disquette, CD-ROM, etc. et Ă  l'utilisation de ces documents pour un usage privĂ© et personnel dans le cadre et pour la durĂ©e de l'adhĂ©sion au Club de L'Immo. Toute autre utilisation par le Membre et Membre privilĂšge est interdite sans l'autorisation du Club de L'Immo. Le Membre et Membre privilĂšge s'interdit notamment de modifier, copier, reproduire, tĂ©lĂ©charger, diffuser, transmettre, exploiter commercialement et/ou distribuer de quelque façon que ce soit les Services, les pages du site le Club de L'Immo, ou les codes informatiques des Ă©lĂ©ments composant les Services et le site le Club de L'Immo. Contenus diffusĂ©s par les Membres Le Membre concĂšde au Club de L'Immo une licence d'utilisation des droits de propriĂ©tĂ© intellectuelle attachĂ©s aux contenus fournis par les Membres aux fins de diffusion sur le Site le Club de L'Immo. 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Ces droits sont concĂ©dĂ©s pour le monde entier et pour toute la durĂ©e d'exĂ©cution des prĂ©sentes Conditions gĂ©nĂ©rales d'Utilisation entre le Membre privilĂšge et le Club de L'Immo. Le Membre et Membre privilĂšge s'interdit de copier, reproduire, ou utiliser les contenus relatifs aux autres Membres et Membres privilĂšge autrement que pour les stricts besoins d'utilisation des Services Ă  des fins personnelles et privĂ©es. Article 7. ResponsabilitĂ© et garantie Pour utiliser les Services, le Membre et Membre privilĂšge doit possĂ©der un Ă©quipement des logiciels et des paramĂ©trages nĂ©cessaires au bon fonctionnement du Club de L'Immo Navigateur IE8 ou Ă©quivalent, activation des fonctions Javascript, rĂ©ception de cookies de session et acceptation de l'affichage de fenĂȘtres "pop-ups". 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Sans prĂ©judice des autres dispositions des prĂ©sentes, en cas de manquement grave du Membre, le Club de L'Immo rĂ©silie le compte du Membre privilĂšge sans prĂ©avis ni mise en demeure. Cette rĂ©siliation produit les mĂȘmes effets que celle dĂ©cidĂ©e par le Membre. Sans prĂ©judice des autres dispositions des prĂ©sentes, en cas de manquement du Membre, le Club de L'Immo rĂ©silie le compte du Membre 7 sept jours aprĂšs l'envoi au Membre privilĂšge d'un courrier Ă©lectronique lui demandant de se conformer aux prĂ©sentes Conditions d'Utilisation restĂ© infructueux. Cette rĂ©siliation interviendra sans prĂ©judice de tous les dommages et intĂ©rĂȘts qui pourraient ĂȘtre rĂ©clamĂ©s par le Club de L'Immo au Membre privilĂšge ou ses ayants droit et reprĂ©sentants lĂ©gaux en rĂ©paration du prĂ©judice subi du fait de tels manquements. Le Membre privilĂšge sera informĂ© par courrier Ă©lectronique de la rĂ©siliation ou de la confirmation de la rĂ©siliation de son compte. Les donnĂ©es relatives au Membre seront dĂ©truites Ă  sa demande ou Ă  l'expiration des dĂ©lais lĂ©gaux courant Ă  compter de la rĂ©siliation du compte du Membre privilĂšge. Article 9. Modifications du Club de L'Immo ou des conditions d'utilisation le Club de L'Immo pourra modifier Ă  tout moment les prĂ©sentes Conditions d'Utilisation. Le Membre privilĂšge sera informĂ© de la nature de ces modifications dĂšs leur mise en ligne sur le site le Club de L'Immo. Les modifications entreront en vigueur un mois aprĂšs leur mise en ligne sur le Site. Pour les Membre privilĂšge inscrits postĂ©rieurement Ă  la mise en ligne des modifications, celles-ci leur seront immĂ©diatement applicables car ils les auront acceptĂ©es expressĂ©ment en devenant Membre privilĂšge. Article 10. MĂ©diateur Ă  la consommation ConformĂ©ment Ă  l'article L. 612-1 du code de la consommation, les clients ont la possibilitĂ© de recourir Ă  MCP MÉDIATION, mĂ©diateur de la consommation dans le cas d'un litige qui les opposerait au Club de l'Immo, par Courrier adressĂ© Ă  MĂ©diation de la consommation & Patrimoine, 12 square Desnouettes 75015 PARIS Article 11. Litiges Tous les litiges auxquels le prĂ©sent contrat pourrait donner lieu, concernant tant sa .validitĂ©, son interprĂ©tation, son exĂ©cution, sa rĂ©siliation, leurs consĂ©quences et leurs suites seront soumis aux tribunaux compĂ©tents dans les conditions de droit commun. Article 12. Langue du contrat - Droit applicable De convention exprĂšs entre les parties, le prĂ©sent contrat est rĂ©gi et soumis au droit français. Article 13. Charte pour la protection des donnĂ©es personnelles ConformĂ©ment au rĂšglement europĂ©en 2016/679 du 27 avril 2016 dit rĂšglement gĂ©nĂ©ral sur la protection des donnĂ©es » ou RGPD La prĂ©sente charte ci-aprĂšs la Charte » dĂ©crit la maniĂšre dont l'Agence LE CLUB DE L'IMMO 28 rue du colombier - 45000 ORLÉANS - France ci-aprĂšs l' Éditeur » traite vos donnĂ©es personnelles via " ci-aprĂšs le Site » en qualitĂ© de responsable de traitement. Ce traitement s'effectue en conformitĂ© avec le respect de la vie privĂ©e et de la protection des donnĂ©es personnelles de ses utilisateurs. Cette Charte vous permet de prendre connaissance des conditions d'obtention, d'utilisation et de conservation de vos donnĂ©es personnelles ci- aprĂšs les DonnĂ©es » par l'Éditeur. Les DonnĂ©es que nous pouvons collecter, traiter et/ou transmettre lorsque vous accĂ©dez et/ou utilisez le Site sont ici dĂ©crites. 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Ils’agit d’une option pour les sociĂ©tĂ©s commerciales qui rĂ©pondent Ă  la dĂ©finition de micro-entreprise donnĂ©e par l’article L. 123-16-1 du code de commerce Ă  l’exclusion d’une liste de sociĂ©tĂ©s dĂ©terminĂ©es par l’article L. 123-16-2 du mĂȘme code et de celles dont l’activitĂ© consiste Ă  gĂ©rer des titres de participations et de valeurs mobiliĂšres.
Les personnes morales et physiques commerçantes doivent Ă©tablir des comptes annuels, procĂ©der Ă  l'enregistrement chronologique des mouvements affectant le patrimoine de l'entreprise, vĂ©rifier l'existence et la valeur des Ă©lĂ©ments d'actifs et passifs inventaire et tenir les documents correspondant un livre journal, un grand‐livre et un livre d'inventaire.Toute la comptabilitĂ© est basĂ©e sur l'existence de piĂšces justificatives qui peuvent ĂȘtre internes Ă  l'entreprise fiches de paies ou externes factures. Ces piĂšces justificatives seront enregistrĂ©es dans un certain nombre de documents obligatoires, avant d'ĂȘtre centralisĂ©s pour donner naissance aux comptes annuels et Ă  l' comptes sociaux feront ensuite l'objet d'une documents comptables doivent ĂȘtre conservĂ©s dix ans 123-22 alinĂ©a 2 du code de commerce.Les documents qui permettent l'enregistrement chronologique les livres obligatoiresChaque opĂ©ration de l'entreprise est enregistrĂ©e dans l'ordre chronologique dans les livres obligatoires que sont le livre-journal et le grand livre. Le livre d'inventaire a disparu du code de commerce en 2011 mais figure toujours Ă  l'article 912-3 du PCG ces documents doivent ĂȘtre Ă©quilibrĂ©s, ce qui signifie que si l'on additionne toutes les lignes, le total dĂ©biteur et le total crĂ©diteur doivent livre journal unique, les journaux gĂ©nĂ©ral et auxiliairesChaque entreprise tient au moins un livre journal unique dans lequel elle reporte toutes les opĂ©rations, quelle que soit leur nature. Cette obligation est prĂ©vue aux articles 912-1 du PCG 2014 ;L123-12 du code de au journal doit ĂȘtre dĂ©finitif c'est Ă  dire effectuĂ© sans blanc ni altĂ©ration article 921-3 du PCG 2014 dans les journaux papiers. La cĂŽte et le paraphe, destinĂ©s Ă  attester du nombre de pages et Ă  donner date certaine aux documents, ne sont plus obligatoires mais restent possibles et gratuits ils sont un moyen de preuve.La comptabilitĂ© est obligatoirement tenue sans blanc ni ratures. Le comptable ne peut ni masquer, ni effacer des Ă©critures. En cas d'erreur sur une comptabilitĂ© papier, il doit en principe utiliser la les comptabilitĂ©s informatisĂ©es, l'enregistrement dĂ©finitif se matĂ©rialise par une procĂ©dure de validation. Les documents informatiques Ă©crits doivent ĂȘtre identifiĂ©s, numĂ©rotĂ©s et datĂ©s comment les anciens livres cĂŽtĂ©s et paraphĂ©s. Les logiciels trop permissifs, qui permettent de réécrire ou d'Ă©craser les fichiers enlĂšvent tout force probante Ă  la comptabilitĂ©. C'est pour cette raison que les Ă©critures sont rarement validĂ©es tout de suite. Elles sont d'abord enregistrĂ©es dans un brouillard, puis validĂ©es. AprĂšs validation, seule la contre-passation reste Ă©criture au livre journal contient, au minimum le numĂ©ro de l'opĂ©ration chronologique ;le numĂ©ro des comptes dĂ©biteurs et crĂ©diteurs ;la date de l'opĂ©ration ;le libellĂ© de l'opĂ©ration ;les sommes portĂ©es au dĂ©bit ou au crĂ©dit des diffĂ©rents journal unique est souvent dĂ©composĂ© en journal gĂ©nĂ©ral et journaux auxiliaires. Ce dĂ©coupage permet d'enregistrer les opĂ©rations quotidiennes dans des journaux spĂ©cifiques, et de laisser en opĂ©rations diverses, les opĂ©rations mois frĂ©quentes une ou plusieurs fois par mois par exemple.Les journaux auxiliaires sont gĂ©nĂ©ralement les journaux d'achat, de vente, de banque, de caisse et opĂ©rations diverses salaires, charges sociales et dĂ©clarations de TVA par exemple.Le grand livreLe grand livre rĂ©capitule toutes les opĂ©rations portĂ©es dans les diffĂ©rents journaux mais en donnant une ventilation compte par compte, dans l'ordre du plan comptable. Le classement chronologique se fait Ă  l'intĂ©rieur de chaque y retrouve la date de l'opĂ©ration ;la rĂ©fĂ©rence du journal oĂč l'opĂ©ration est inscrite ;le libellĂ© de l'opĂ©ration ;le montant dĂ©biteur ou pour les journaux, le grand livre est divisĂ© en grand livre gĂ©nĂ©ral et en grands livres auxiliaires mais le dĂ©coupage n'est pas tout Ă  fait le mĂȘme puisqu'il se fait ici par type de grands livres auxiliaires donneront le dĂ©tail des mouvements et soldes pour chaque client ou fournisseur alors que le grand livre gĂ©nĂ©ral, centralise tous ces comptes de tiers. Dans le grand livre gĂ©nĂ©ral, ce sont des comptes balanceLa balance rĂ©capitule les mouvements du grand livre ainsi que les soldes, compte par compte, en donnant systĂ©matiquement le total des mouvements dĂ©biteurs et crĂ©diteurs et les diffĂ©rents n'est pas un document obligatoire, mĂȘme s'il est trĂšs utilisĂ© pour vĂ©rifier l'Ă©quilibre des comptes ;pour la prĂ©paration des documents de livre d'inventaireCe livre d'inventaire n'est plus obligatoire depuis 2011 et son absence dans l'entreprise n'est plus sanctionnĂ©. MalgrĂ© cela, l'obligation d'effectuer un inventaire tous les douze mois documents de synthĂšseLes documents de synthĂšse, que sont le bilan, le compte de rĂ©sultat et l'annexe, ne sont Ă©tablis qu'une fois par an, aprĂšs une rĂ©vision du grand livre, destinĂ©e Ă  dĂ©tecter et corriger les erreurs trois documents sont indissociables et se retrouvent dans la liasse fiscale ou dĂ©claration de rĂ©sultat des entreprises, qui sera envoyĂ©e Ă  l'administration fiscale article 38 de l'annexe III du CGI.Ils sont obligatoirement Ă©tablis par toutes les personnes physiques ou morales qui ont la qualitĂ© de commerçant ou qui ne sont pas commerçants mais ont une activitĂ© Ă©conomique la notion d'entitĂ© du plan comptable gĂ©nĂ©ral.Ce sont les organes de direction qui arrĂȘtent les comptes annuels dans des dĂ©lais qui peuvent varier selon la forme juridique. En pratique, les entreprises respectent les dĂ©lais fiscaux pour le dĂ©pĂŽt des dĂ©clarations de rĂ©sultats, souvent plus prĂ©sentation du bilan et du compte de rĂ©sultatCette prĂ©sentation est prĂ©vue par les textes mais peut diffĂ©rer selon que l'on applique le plan comptable gĂ©nĂ©ral ou le code gĂ©nĂ©ral des contenu de chacun de ces tableaux est listĂ© par le code de commerce aux articles R123-181 et suivants du code de commerce, le PCG 2014 se contentant ici de donner les diffĂ©rents droit comptable, les entreprises ont ainsi le choix entre plusieurs prĂ©sentations, dĂ©finies aux articles 810-1 et suivants du PCG 2014 qui prĂ©sentent Ă©galement les diffĂ©rents modĂšles les documents peuvent ĂȘtre prĂ©sentĂ©s en comptes sous forme de tableau ou en liste ;selon un systĂšme abrĂ©gĂ© pour les petites entitĂ©s, de base ou le systĂšme choisi, les documents seront plus ou moins dĂ©taillĂ©s. Hormis le cas particulier des petites entreprises, l'entreprise concernĂ©e choisira le systĂšme qui donne l'image la plus droit commercial, seul le compte de rĂ©sultat peut faire l'objet d'une prĂ©sentation en tableau ou en liste, au choix de l'entreprise article L123-13.En droit fiscal, le modĂšle prĂ©vu pour la liasse fiscale, ne permet pas de choisir. Le bilan est obligatoirement prĂ©sentĂ© en tableau et le compte de rĂ©sultat sous forme de liste voir le tableau des diffĂ©rents rĂ©gimes d'imposition.Le systĂšme dĂ©veloppĂ© prĂ©vu par le plan comptable n'est pas sanctionnĂ© par le droit commercial ou des comptes annuels, permet de mieux renseigner les utilisateurs des documents de synthĂšse. Elle comporte un certain nombre de mentions obligatoires qui sont listĂ©es Ă  la fois par le PCG 2014 articles 831-1 et suivants et le code de commerce articles R123-195 et suivants.Les informations Ă  produire dĂ©pendent de la taille de l'entreprise, de l'importance significative des informations et de l'identitĂ© de la personne qui Ă©tablit les les articles 832-13 et 832-14 du PCG 2014, listent les informations que les petites entitĂ©s et les personnes physiques ne sont pas tenues de fournir en droit fiscal, le contenu de l'annexe les tableaux de la liasse fiscale varie selon le rĂ©gime d'imposition plus dĂ©taillĂ© pour le rĂ©gime rĂ©el normal mais l'administration fiscale est en droit de rĂ©clamer les Ă©lĂ©ments qui figurent obligatoirement dans l'annexe comptable, sans figurer dans la liasse et la publication des comptesLes comptes sociaux les documents de synthĂšse des sociĂ©tĂ©s sont approuvĂ©s tous les ans par les associĂ©s, rĂ©unis en assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale. Cette approbation doit avoir lieu dans les six mois de la clĂŽture de l'exercice et ce, mĂȘme si la sociĂ©tĂ© n'a pas eu d'activitĂ© au cours de cet les sociĂ©tĂ©s unipersonnelles dont l'associĂ© unique personne physique est Ă©galement le gĂ©rant, le dĂ©pĂŽt au greffe vaut approbation des dĂ©pĂŽt au greffe du tribunal de commerce est obligatoire. Les documents Ă  dĂ©poser sont les suivants un exemplaire des comptes annuels bilan, compte de rĂ©sultat et annexe comptable ;la proposition d'affectation du rĂ©sultat ;les comptes consolidĂ©s, le cas Ă©chĂ©ant ;le ou les rapports des commissaires aux dĂ©pĂŽt de la liasse fiscale est possible mais pas obligatoire Ă  condition de joindre l'annexe dĂ©pĂŽt doit se faire dans le mois qui suit l'approbation des comptes par l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale ou dans les deux mois en cas de dĂ©pĂŽt cas de refus d'approbation, une copie de la dĂ©libĂ©ration est dĂ©posĂ©e Ă  la sommaire du dossierLes obligations comptables et fiscales des entreprisesLes obligations comptables de droit communLes obligations simplifiĂ©es des petites entreprisesComptabilitĂ© d'engagement ou comptabilitĂ© de trĂ©sorerieLes rĂšgles de facturationTableau de synthĂšse des rĂ©gimes d'imposition et obligations dĂ©clarativesLa franchise en base de TVA

Peuventétablir une annexe selon un modÚle abrégé fixé par l'Autorité des normes comptables les personnes morales visées à l'article L. 123-16 du code de commerce et placées sous le régime réel simplifié d'imposition (c. com. art. L. 123-16-1), c'est-à-dire celles :

Facturation entre professionnelsLa rĂ©glementationLes rĂšgles de facturation entre professionnels sont Ă©dictĂ©es par le code de commerce article L441-3 et R441-3.La facturation est obligatoire entre professionnels Le vendeur est tenu de la dĂ©livrer, dĂšs la rĂ©alisation de la vente ou de la prestation de doit la rĂ©clamer si elle ne lui a pas Ă©tĂ© remise. Il y a donc aussi une responsabilitĂ© de l' facture doit ĂȘtre faite en double exemplaire, un pour le vendeur, un pour l' doit ĂȘtre rĂ©digĂ©e en existe une obligation, pour le vendeur et l'acheteur, de conserver un exemplaire du document le dĂ©cret fixe la durĂ©e Ă  trois ans -> cf supra.Le code de commerce donne une liste des mentions Ă  porter sur la liste des mentions obligatoires est dĂ©taillĂ©e dans le sujet rajouterons simplement que du point de vue fiscal et comptable, il faut bien entendu mentionner la TVA, ainsi que le taux de TVA. SI l'entreprise est exonĂ©rĂ©e de TVA, il faut indiquer la rĂ©glementation article de loi, dĂ©cret... qui exonĂšre l'entreprise de pour les auto-entrepreneurs TVA non applicable - article 293 B du CGI. » Cf articles 289-0 et 289 du et Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, annexe 2 article 242 nonies et suivant.JurisprudenceLa facturation reste un terrain d'Ă©lection de l'action contentieuse de l'administration. Les manquements relevĂ©s ont trait Ă  l'obligation d'Ă©tablir une facture, d'une part, et au contenu de la facture, d'autre de facturerUn arrĂȘt de la Cour d'appel de Paris 30 novembre 2006 sanctionne une centrale qui avait dĂ©livrĂ© des factures d'acompte incomplĂštes pour les services qu'elle rendait Ă  ses fournisseurs. Les juges estiment en effet que la loi ne distinguant pas selon la nature des factures », celles Ă©tablies pour rĂ©clamer un acompte doivent comporter toutes les mentions requises. Les juges ont Ă©tĂ© ici assez sĂ©vĂšres car l'obligation de dĂ©livrer facture ne naĂźt que dĂšs la rĂ©alisation de la vente ou la prestation du service » C. com., art. L 441-3.Le contenu de la factureC'est, pour l'essentiel, sur l'absence de dĂ©nomination prĂ©cise » des services de coopĂ©ration commerciale que les tribunaux sont sollicitĂ©s. En effet, les factures Ă©tablies par un distributeur pour des prestations de coopĂ©ration commerciale doivent permettre Ă  l'administration et au juge d'identifier avec prĂ©cision la nature exacte des services rendus ».Dans son arrĂȘt du 6 dĂ©cembre 2006 prĂ©citĂ©, la Cour de cassation rappelle que les mentions exigĂ©es par l'article L 441-3 du code de commerce doivent figurer sur les factures sans qu'il soit nĂ©cessaire de se rĂ©fĂ©rer aux documents qui les fondent ».Il est important aussi de constater que la jurisprudence est assez exigeante vis-Ă -vis de l'acheteur, car en effet, celui-ci doit rĂ©clamer la facture, sinon il commet le dĂ©lit d'achat sans gĂ©nĂ©ral, il n'y a pas de problĂšme entre vendeur envoie gĂ©nĂ©ralement la facture rapidement, et l'acheteur la reçoit et la problĂšme peut se poser lorsqu'un professionnel achĂšte des produits pour les besoins de sa profession dans des grandes surfaces. Il serait assez difficile d'exiger d'une grande surface de faire un tri systĂ©matique dans sa clientĂšle entre consommateurs et professionnels lors du passage en ne pourrait pas lui reprocher, si elle vend occasionnellement des produits Ă  un professionnel, d'avoir fait une vente sans en 2009, le TGI d'Hazebrouck 13 fĂ©vrier 2009, n° 103/2009, et 16 juin 2009 n° 359/2009 a illustrĂ© un point particulier de la rĂ©glementation en matiĂšre de facturation, qui avait Ă©tĂ© prĂ©cisĂ© Ă  l'occasion d'une rĂ©ponse ministĂ©rielle de 1987 RĂ©p. Min. A QE n°30677, JOAN Q. 23 nov 1987, un professionnel ne saurait se soustraire Ă  l'obligation lĂ©gale de facturation lorsqu'il s'adresse Ă  un circuit de commercialisation habituellement destinĂ© aux consommateurs, une grande surface par cet Ă©gard, il Ă©tait prĂ©cisĂ© que les grandes surfaces de vente au dĂ©tail ont le devoir de procĂ©der Ă  la dĂ©livrance systĂ©matique de factures dans tous les cas oĂč les achats effectuĂ©s par un client permettent, de par leur rĂ©gularitĂ© et leur importance, de les identifier comme correspondant Ă  une activitĂ© professionnel acheteur par contre sait trĂšs bien qu'il achĂšte des produits pour son activitĂ© professionnelle il doit donc rĂ©clamer la facture en il pourrait commettre le dĂ©lit d'achats sans en a par ailleurs besoin, au niveau comptable et fiscal, pour pouvoir comptabiliser la charge et rĂ©cupĂ©rer la de conservation des facturesD'aprĂšs le code de commerce article R441-3, les factures doivent ĂȘtre conservĂ©es pendant un dĂ©lai de 3 ans Ă  compter de la date de la vente ou de la rĂ©alisation de la prestation de attention car le code de commerce prĂ©voit aussi la conservation pendant 10 ans Ă  partir de la clĂŽture de l'exercice des Livre et registre comptable livre journal, grand livre, livre d'inventaire, ainsi que des piĂšces justificatives or les factures font partie des piĂšces justificatives.. article part, lors d'un contrĂŽle fiscal, il faut pouvoir prĂ©senter toutes les piĂšces justificatives d'une comptabilitĂ©, et les dĂ©lais de reprise de l'administration fiscale s'Ă©tendent parfois sur une durĂ©e plus longue que 3 conseillons donc de conserver les factures pendant une durĂ©e de 10 entre professionnels et consommateursLa rĂ©glementation est ici beaucoup plus d'abord, elle ne concerne que les prestataires de professionnel qui fait uniquement de la vente de biens n'est pas soumis Ă  cette de dĂ©livrer une noteLe prestataire est obligĂ© de remettre une note ou une facture Ă  son client dĂšs que le montant de la prestation atteint 25 €TVA incluse,ou si le client le lui demande peu importe dans ce cas le montant de la prestation.À savoirDans certains cas particuliers, la remise de la note est obligatoire quel que soit le montant de la prestation, comme au restaurant par de la noteLa note ou la facture doit comporter les Ă©lĂ©ments suivants les coordonnĂ©es du prestataire,la date de rĂ©daction de la note,la date et lieu d'exĂ©cution de la prestation,un dĂ©compte dĂ©taillĂ©, en quantitĂ© et prix de chaque prestation ou produit fourni ou vendu exemple taux horaire et nombre d'heures travaillĂ©es. Ce dĂ©compte est facultatif si un devis descriptif et dĂ©taillĂ©, acceptĂ© par le client et conforme aux travaux effectuĂ©s, a Ă©tĂ© dĂ©livrĂ© avant la prestation,la somme totale Ă  payer hors taxes HT et toutes taxes comprises TTC,le nom du client, sauf opposition de sa de la noteLa note ou facture doit ĂȘtre dĂ©livrĂ©e dĂšs que la prestation est rendue et avant le paiement du est Ă©tablie en double professionnel doit remettre l'original au client et conserver le doubleLe non-respect de l'obligation de dĂ©livrance d'une note et de ses mentions obligatoires est passible d'une amende de 1500 €, portĂ©e Ă  3000 € en cas de rĂ©cidive. contravention de 5Ăšme classe.Au sommaire du dossierLes obligations comptables et fiscales des entreprisesLes obligations comptables de droit communLes obligations simplifiĂ©es des petites entreprisesComptabilitĂ© d'engagement ou comptabilitĂ© de trĂ©sorerieLes rĂšgles de facturationTableau de synthĂšse des rĂ©gimes d'imposition et obligations dĂ©clarativesLa franchise en base de TVA

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