Lesecond accrochage des œuvres est l’occasion également de la publication d’un catalogue inédit. Une analyse des œuvres d’Alaïa et de Balenciaga figure au sommaire ainsi que des textes plus historiques sur
Igor Uria Zubizarreta est directeur des collections du musée Cristóbal Balenciaga, à Getaria, en Espagne. L’équipe Ichtus Magazine a pu rencontrer ce créatif inspirant. Nous lui poser quelques questions à propos de mode, de culture et de Méditerranée. Par ailleurs, la mode est un excellent moyen de créer de la beauté. Elle permet de s’élever et d’affirmer notre personnalité. En effet, les vêtements ont le merveilleux pouvoir de donner le ton et le rythme à nos vies. Ils peuvent façonner notre attitude. Se vêtir comme la personne que nous souhaiterions être permet de developper un comportement nouveau. En effet, au même titre que nous devenons ce que nous pensons; peut-on affirmer que nous devenons ce que nous portons ? Igor Uria ©️ Ichtus MagazinePrésentez-vous en quelques lignes Igor Uria Zubizarreta Je suis Igor Uria Zubizarreta, directeur des collections du Cristóbal Balenciaga museoa depuis 2014. Je travaille dans cette institution depuis 2004, ayant commencé comme responsable de la conservation-restauration et de l’enregistrement. Finalement, le fait d’étudier et de faire des recherches sur la même personne et son œuvre, pendant 18 ans, génère le sentiment que vos connaissances se limitent à ce domaine. Malgré le fait que chaque jour, vous avez l’impression de ne rien savoir de lui et de son travail. C’est un plaisir de pouvoir apprendre quelque chose chaque jour de cette maîtrise. En effet, j’aime en savoir plus sur les coupes, l’élégance dans le savoir-être, mais aussi dans le savoir-faire. Ichtus MagazineEn quoi consiste votre activité au sein du Cristobal Balenciaga Museoa ? Igor Uria Zubizarreta L’organisation des expositions, depuis la fonction de commissaire et la sélection des textes jusqu’à leur placement et leur présentation dans la vitrine. C’est ce à quoi je consacre le plus de temps. Cependant, tout le travail d’enregistrement et de recherche relève également de ma responsabilité quotidienne. Ce qui génère le plus d’enthousiasme, le plus de passion, c’est le temps consacré à la recherche d’une pièce, depuis la coupe, le tissage, la datation… Comment cette élégance qui passe inaperçue sur une table, est transformée ou bien mise en valeur sur un mannequin. Ichtus MagazineQuel est votre rapport à la mode ? Igor Uria Zubizarreta La mode est un langage qui fournit beaucoup d’informations. En effet, elle permet d’en savoir plus sur chacun d’entre nous. Les choix que nous faisons lorsque nous achetons un vêtement, mais encore la façon dont nous les portons, les endroits où nous allons avec eux. Cependant, je suis d’avis qu’il n’est pas nécessaire de tout dévoiler, de tout extérioriser. En ce moment, il semble que nous devions tout laisser à découvert, nous montrer. Je pense que le mystère d’apprendre à connaître les gens est plus intéressant. Ces petits détails vous amènent à vous interroger sur les raisons de leurs choix. De toute évidence, il faut du temps, une conversation, du respect mutuel et de la confiance. Il valorise l’individualité, les valeurs de la vie et non l’uniformité des personnes. Voilà pourquoi je crois en un vestiaire, pas en une armoire ou un conteneur à vêtements. Une garde-robe se construit, indépendamment des modes, comme une personne à travers ses expériences. Ichtus MagazineQuelle est votre définition de la Méditerranée ? Igor Uria Zubizarreta D’une expérience quotidienne plus proche de l’Atlantique que de la Méditerranée, ce que je considère qui identifie la Méditerranée est la lumière. Elle est une confluence des cultures et la coexistence à travers l’histoire. Cette coexistence, ce respect mutuel, ont apporté une grande richesse. Une lumière a apporté une richesse d’idées et de traditions. Une lumière qui génère un style de vie expansif, appréciant la lumière qui se reflète dans les créations de la nature et de l’homme qui l’habite. Ichtus MagazineParlez-nous de la dernière exposition Alaia et Balenciaga. Sculpteurs de la forme »actuellement présente au Cristobal Balenciaga Museoa. Igor Uria Zubizarreta Il s’agit d’une exposition consacrée à la collection de mode qu’Azzedine Alaïa a constituée après son départ pour acquérir des pièces, des fragments, des tissus, etc. lors de la clôture du salon de Paris en mai 1968. En effet, Alaïa était venu avec l’intention d’adapter et de vendre ensuite tout ce qu’il était autorisé à acheter dans la maison du maître de la Haute Couture. Finalement, sa vision a changé lorsqu’il est arrivé dans son atelier et a apprécié l’exquisité, l’élégance et l’intelligence de chacune de ces coutures. En réalité, il était venu en pensant acheter de la MODE et ce qu’il avait entre les mains était du PATRIMOINE. D’ailleurs, cette exposition semblait appropriée en tant que point culminant de la série curatoriale qui avait été exposée durant les années précédentes au Cristóbal Balenciaga Museoa. Mode et patrimoine », dont la muséographie a été conçue par Judith Clark. Ichtus MagazineComment l’Espagne a-t-elle influencé les créations de Cristobal Balenciaga ? Igor Uria Zubizarreta L’influence de l’Espagne sur le travail de Balenciaga est évidente dès la présentation de sa première collection à Paris en août 1937. Si l’on peut dire que l’Espagne a toujours été à la mode, dans le domaine de la mode ; avec les créations du couturier originaire de Getaria, cette influence s’est subtilement confirmée en revalorisant cet héritage culturel. Cela donne une vision appropriée à l’époque. Les couleurs n’ont pas d’origine, cependant, son utilisation du noir dans certains vêtements rappelle l’Espagne noire mythifiée, l’Espagne profonde, aux racines ancrées dans la terre. En effet, cette terre, qui appartient au peuple, change de couleur en fonction de la région. Le pays de son enfance est brun, il est brun. Le brun était également synonyme de deuil, de ces humbles villages, qui teignaient leurs vêtements avec les tannins des coquilles de noix, jusqu’à ce qu’ils teignent leurs vêtements en noir. Les nuances de noir chez Balenciaga sont immenses. Beaucoup d’entre eux viennent du brun, comme disait Diana Vreeland. Par ailleurs, l’importance de ces tons chromatiques est la sublimation de l’élégance. Dans les années 40, il y avait une couleur marron appelée Balenciaga. Sa connaissance des traditions populaires et des vêtements liés à chacune d’entre elles était très grande notamment grâce à ses expériences ainsi qu’à sa collection bibliographique et de costumes. Ichtus MagazineEnfin, Ichtus Magazine est un magazine spirituel. Avez-vous un quelconque lien avec laspiritualité ? Si oui, lequel ? Igor Uria Zubizarreta J’aime le silence, extérieur et intérieur. Un silence permissif et créatif qui apporte croissance, calme, sécurité, mais encore courage ou confiance face aux événements quotidiens. Versión en español Soy Igor Uria Zubizarreta, Director de colecciones del Cristóbal Balenciaga Museoadesde 2014. Desde 2004 trabajo en esta institución, habiendo comenzado como responsable de conservación-restauración y registro. El hecho de estudiar e investigar sobre la misma persona y su obra, durante 18 años, genera una sensación de que tus conocimientos solo se reducen a ese ámbito. A pesar de que cada día sientes que desconoces todo sobre él y su obra. Es un placer poder aprender todos los días algo que se desprende de esa maestría, de esos cortes, de esa elegancia en el saber estar, en el saber hacer. La organización de las exposiciones, comenzando desde el comisariado y selección de textos, hasta su colocación y presentación en la vitrina, es a lo que más tiempo dedico. Sin embargo, todas las gestiones de registro e investigación también quedan bajo mi responsabilidad diaria. Lo que genera mayor entusiasmo, mayor pasión es el tiempo dedicado a la investigación de una pieza, desde el corte, el tejido, la datación… Como esa elegancia que pasa desapercibida sobre una mesa, se transforma o enaltece en un maniquí. La moda es un lenguaje que aporta muchos datos sobre cada uno de nosotros, en las elecciones que realizamos al comprar una prenda, en como la llevamos, a donde acudimos con ella…. Sin embargo, soy de la opinión que no es necesaria dejarlo todo a la intemperie, no hay porque exteriorizar todo. En estos momentos da la impresión que hay dejar todo claro, mostrarse. Considero que es más interesante el misterio de ir conociendo a las personas. Que pequeños detalles te hagan indagar sobre el porque de sus elecciones, y para eso se necesita de tiempo, de conversación, de respeto mutuo y de confianza. Valora la individualidad, los valores en la vida y no la uniformización de la gente. Creo en un Guardarropia, y no en armario o contenedor de ropa. Un guardarropía se va construyendo, con independencia de las modas, como la persona a través de sus experiencias. Desde una experiencia diaría más cercana al Atlantico que al Mediterraneo, lo que yo considero que identifica al Mediterráneo es luz, es la confluencia de culturas y convivencias a lo largo de la historia. Es una gran riqueza lo que ha aportado esa convivencia, el respeto mutuo. Una luz ha aportado riqueza de ideas, de tradiciones. Una luz que genera un estilo de vida expansivo, apreciando esa luz que se refleja en las creaciones de la naturaleza y el hombre que la habita. Es una muestra dedicada a la colección de moda que formó Azzedine Alaïa, tras salir de adquirir piezas, fragmentos, tejidos, etc…. al cierre del salón de Paris en mayo de 1968. Alaïa había acudido con el propósito de adaptar y vender posteriormente lo que se le permitiera comprar de la casa del maestro de Haute Couture. Su visión cambió cuando llegó a su atelier y apreció la exquisitez, la elegancia y la inteligencia de cada una de aquellas costuras. Él había acudido pensado en comprar MODA y lo que tenía en sus manos era PATRIMONIO. Es por ello que nos parecía adecuada esta exposición como colofón a la serie curatorial que se había expuesto en los años anteriores en el Cristóbal Balenciaga Museoa. Moda y Patrimonio», con la museografía ideada por Judith Clark. La influencia de España en la obra de Balenciaga quedó constatada desde la presentación de su primera colección en Paris, en agosto de 1937. Si bien es cierto que se podría decir que España siempre estuvo de moda, en el campo de la moda; con las creaciones del modisto de Getaria esa influencia se constató con gran sutileza, revalorizando ese patrimonio cultural y aportándole una visión adecuada al momento. Los colores no tienen un origen, sin embargo, su utilización del negro en ciertas prendas, recordaba a la mitificada España Negra, España profunda, de raíces arraigadas en la tierra. Esa tierra que pertenece al pueblo, cambia de color dependiendo de la región. La tierra de su infancia es parda, es marrón. Como pardo era el luto, de aquellos humildes pueblos, que teñían sus prendas con los taninos de las cascaras de nueces hasta teñir sus prendas en negro…. Los matices del negro en Balenciaga son inmensos. Muchos de ellos surgen del marrón, como decía Diana Vreeland. La importancia esos tonos cromáticos es la sublimación de la elegancia. En los años cuarenta hubo un color pardo que se llamaba Balenciaga. Su conocimiento de las tradiciones populares y la indumentario relacionada con cada una, era muy grande debido tanto a sus experiencias como al coleccionismo bibliográfico y de indumentaria. Adoro el silencio, externo e interno. Un silencio permisivo, creador, que aporta crecimiento, sosiego, seguridad y valor o confianza ante los acontecimientos cotidianos. Découvrez d’autres article à propos mode méditerranéenneDécouvrez nos collections de photos - A thought-provoking blend of high fashion, art and culture brought to you by the creators of AnOther Magazine

Association Azzedine Alaïa, Parigi – fino al 28 giugno 2020. In mostra a Parigi l’archivio del couturier Azzedine Alaïa, collezionista di Balenciaga. Alaïa. Bolero in velluto ricamato centro. Boleri in pelle traforata e ricamata ai lati. Couture autunno inverno 1989Fino al 28 giugno 2020 è possibile visitare a Parigi l’esposizione Azzedine Alaïa collectionneur. Alaïa et Balenciaga, sculpteurs de la forme, ospitata negli spazi di rue de la Verrerie, l’ex atelier del couturier tunisino scomparso nel 2017, oggi sede dell’omonima associazione. Per cinquant’anni Azzedine Alaïa Tunisi, 1935 – Parigi, 2017 è stato, oltre che creatore, un collezionista instancabile in tutti i campi della cultura moda, arte, architettura, design. Nel 2007, per proteggere il suo archivio di moda e la sua collezione d’arte, decise di fondare insieme al suo partner, il pittore Christoph von Weyhe, e alla sua storica amica e collaboratrice Carla Sozzani, un’associazione che portasse il suo nome, con il compito di conservare e valorizzare questo prezioso patrimonio. Per comprendere il legame tra Alaïa e Balenciaga è necessario ritornare all’origine dell’incontro che segnerà un lungo e prolifico percorso creativo. Tutto ebbe inizio nel maggio 1968. Un comunicato alla radio rese nota, senza clamore, la chiusura della maison Balenciaga di Parigi. Non era la prima volta che il couturier spagnolo si trovava nella condizione di dover chiudere il suo atelier, ma questa fu quella definitiva. Cristóbal Balenciaga era arrivato a Parigi nel 1937, dopo aver lasciato la Spagna a causa della guerra civile, le cui ripercussioni sociali ed economiche non avevano risparmiato neppure la sua elegante clientela. Trent’anni dopo, Balenciaga fu testimone, questa volta in Francia, di un nuovo passaggio epocale, quello del ’68, segnato da contestazioni studentesche, mobilitazioni sindacali e lotte di classe. Una crisi sociale e politica così profonda che, il 30 maggio, portò il presidente francese Charles de Gaulle padre della V Repubblica a sciogliere l’Assemblea nazionale. Il mondo stava cambiando e con lui anche la moda non si trattava di una semplice variazione di gusto, stile o tendenze legate alle mutazioni sociali in atto, ma di un’evoluzione strutturale che ne avrebbe modificato definitivamente la percezione e l’organizzazione. L’haute couture aveva perso il monopolio della moda e Balenciaga, ormai settantenne, lo aveva ben compreso. Lo stilista, che aveva incantato Parigi con la sua estetica rigorosa e l’equilibrio dei suoi volumi, scelse di congedarsi davanti alla nascita del prêt-à-porter. Solo due anni prima, il 26 settembre 1966, Yves Saint Laurent aveva infatti aperto la sua prima boutique di prêt-à-porter in rue de Tournon il giovane couturier aveva deciso di creare, a fianco delle collezioni di alta moda, una linea di abiti prodotti in serie accessibili a un maggior numero di clienti “J’en avais assez de faire des robes pour des milliardaires blasées”. Alaïa, cappotto doppiopetto in gabardine di lana blue marine con laniche raglan. Collezione autunno inverno 2012 L’AVVENTO DEL PRÊT-À-PORTER In quello stesso maggio del 1968, la giovane stilista Sonia Rykiel aveva aperto in rue de Grenelle un concept store ante litteram per il lancio della sua prima collezione di abbigliamento, divenuta in breve il simbolo di un nuovo concetto di moda la “démode”. Gli abiti non erano più concepiti come creazioni realizzate per un ideale femminile al quale le donne dovevano conformarsi, ma come prodotti da indossare e, in quanto tali, erano loro a doversi adattare al corpo delle clienti. L’avvento del prêt-à-porter aveva tracciato un confine netto con l’alta moda. Il tempio dell’immaginazione e dei saperi manuali avrebbe d’ora in poi convissuto in parallelo a una produzione industrializzata, frutto del sodalizio tra gli stilisti e i nuovi attori della moda gli imprenditori. Saranno loro a dare vita al fashion system, così come lo conosciamo oggi, portando l’abbigliamento nel giro di tre decenni dalle boutique alle borse internazionali. In questo contesto è significativo che proprio Didier Grumbach, uomo cardine tra il mondo della creazione e quello dell’industria, autore del celebre volume History of International Fashion, identifichi nella decisione di Balenciaga un evento emblematico nella storia del settore. I dipendenti della maison Balenciaga presero formalmente atto della chiusura della maison con la lettera di licenziamento del 31 maggio, anche se la notizia era ormai nota da alcuni giorni al grande pubblico, grazie a un articolo di Paris-Soir del 23 maggio. L’ARRIVO DI AZZEDINE ALAÏA Qualche tempo dopo la chiusura, Mademoiselle Renée, a lungo la direttrice della maison Balenciaga, preoccupata per il destino dello stock di tessuti e delle collezioni ancora in giacenza, decise di contattare il giovane Azzedine Alaïa, che si era già distinto per il suo talento tra la clientela dell’alta moda parigina, dandogli la libertà di scegliere tra i modelli del couturier per dare loro una seconda vita. Per Alaïa fu un coup de foudre incantato dall’architettura delle forme, la maestria dei tagli e le tecniche di realizzazione sperimentate da Balenciaga, non osò mettere mano sui suoi abiti, trovando l’idea stessa un sacrilegio di fronte a quello che riteneva un straordinario patrimonio. Fu così che in Alaïa si delinearono due personalità, legate tra loro dalla stessa passione da un lato il couturier, dall’altro il collezionista. Grès, Vionnet, Schiaparelli numerosi furono i soggetti delle sue ricerche, ma tra questi Balenciaga conservò un posto d’onore e un’influenza particolare nel rapporto scultoreo con il corpo e i materiali dal tessuto alla pelle, dai pizzi ai ricami a traforo. In un’intervista a Vogue Italia del 2018, Carla Sozzani aveva affermato “Era un vero architetto, il suo lavoro era paragonabile a una scultura. E faceva tutto da solo! Ogni ricamo, ogni manica, tutto, proprio tutto veniva realizzato a mano, fisicamente, da Azzedine. Aveva l’ossessione della completezza. E questa era la sua forma d’arte, il suo modo di esprimersi attraverso gli abiti”. In questo senso Alaïa ha trovato in Balenciaga una fonte d’ispirazione e uno specchio dove riconoscersi, condividendo con lui l’ostinazione per la perfezione e la padronanza magistrale di ogni passaggio creativo, dal disegno al cartone, dal taglio al cucito. Nella leggerezza degli abiti da sera, come nell’architettura dei tailleur e dei capispalla, i due couturier hanno tessuto un dialogo creativo fuori dalle leggi del tempo che l’esposizione – grazie alla sapiente direzione di Olivier Saillard – restituisce intatto al visitatore, attraverso un percorso comparativo di oltre 80 modelli selezionati tra i pezzi d’archivio e della collezione privata di Azzedine Alaïa. ‒ Oleg Sisi Parigi // fino al 28 giugno 2020 Azzedine Alaïa collectionneur. Alaïa et Balenciaga, sculpteurs de la forme ASSOCIATION AZZEDINE ALAÏA 18, rue de la Verrerie

Ensemblede deux cartes postales présentant des photographies de l’exposition Alaïa et Balenciaga, Sculpteurs de la forme. Photographies par Sylvie Delpech et Stéphane Aït Ouarab. Dimensions : 18cm x 13cm. Précédent. Suivant. Retour homepage. Fondation Azzedine Alaïa 18 Rue de la Verrerie 75004 Paris +33 (0)1 87 44 87 75. Contacts ; Instagram; Newsletter;

Between the airy veils, wafting as if in a summer breeze, the clothes come in pairs. There is an Azzedine Alaïa black dress from 2007 suspended from narrow straps and, beside it, an elegant 1960 wool crepe dress with bows at the back. Cristóbal Balenciaga of course!That display, shown in Alaïa’s former home in Paris on the rue de la Verrerie, was easy to judge. But what about another duo two lacy dresses, one burgundy, the other black? I got that wrong by over half a century 1950 and 2015 in this fascinating game of two designers who shared a passion for fashion skills. “Alaïa and Balenciaga Sculptors of Form” until 28 June 2020 has a story hidden in the forest of veils and the delicately arranged display by curator Olivier Olivier Saillard with pieces by Balenciaga and Alaïa at his new exhibition, "Sculptors of Form" Bertrand Rindoff Petroff“In 1968, Azzedine bought his first Cristóbal dress, and from that moment on he started to collect masters of fashion history,” explained Carla Sozzani, the retailer, fashion and art curator who was so close to the late designer that he called her his “sister”.Azzedine Alaïa with Carla Sozzani at his fashion show in 2016 Bertrand Rindoff Petroff“In 2007, Azzedine, Christoph Von Weyhe, Alaïa’s life-time partner and I founded Association Azzedine Alaïa to be a Foundation of Public Interest,” Carla explained. “The mission is to preserve his work, his archives, and the collections he had been slowly building all his life, since the mid-60s, in art, design, and fashion. There are now over 22,000 pieces of Azzedine’s works and about 12,000 of the masters of couture he collected.”An installation at the new exhibition "Alaia and Balenciaga, Sculptors of Form" Bertrand Rindoff PetroffBut the current exhibition might never have taken place without Hubert de Givenchy. “He came to see Christoph and me a few months after Azzedine passed away, to tell us, in Azzedine’s kitchen, of his admiration for only these two masters, Cristóbal Balenciaga and Azzedine Alaïa. He wanted to do an exhibition about these two great couturiers in a conversation’.”Givenchy passed away only a few weeks later, but his dream became reality as Carla, Christoph and Saillard went through the 450 Balenciaga outfits that Alaïa had gathered, while at the same time translating the essence of those designs into the development of his own work. “The show is about this transmission,” said Carla, who is also involved in the current 2020 Alaïa fashion collection, which was shown to international buyers during the January Spring/Summer 2020 couture season. In a further chapter to the story, Balenciaga's owners, Kering, announced that the house will once again show haute couture, from this further proof that fashion can be eternal, an Edition line, recreating Alaïa’s work from 1988, is part of the new collection. The clothes from the past include a tuxedo jacket over a long pleated skirt and a revival of the Alaïa Pre-Fall 2020 includes 'Edition' pieces, recreating signature pieces from the designer's heyday Carla said, “Since Azzedine passed away, as President of the Association, my involvement is in bringing forward, in this period of transition, the heritage and the legacy of Azzedine’s work with the archives, the studio and the ateliers.”Azzedine Alaia's home and atelier in Paris houses his archive and is open to the public for exhibitions and events Bertrand Rindoff Petroff“Alaïa et Balenciaga, Sculpteurs de la Forme” is at the Association Azzedine Alaïa, 18 rue de la Verrerie, Paris 75004 until 28 June 2020

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Trouvezles photos de stock éditoriales de Creations Designed By Tunisian Fashion Designer et bien d’autres dans la collection Shutterstock de photographies éditoriales. Des milliers de nouvelles photos sont ajoutées chaque jour. L’exposition croisée Balenciaga - Alaïa ouvre aujourd'hui à Paris et on vous la et Alaïa en dialogueD’un côté, une petite robe noire à col bateau, courte, dont les fronces démarrent pile sur les hanches. De l’autre, une longue robe bustier, moulée jusque sur les cuisses et évasée jusqu’au sol dans un parfait jeu de godets. La première est signée Cristóbal Balenciaga et date de 1954, l’autre est une pièce haute couture Azzedine Alaïa, datée de 2003. Leur point commun est une extraordinaire maîtrise de la forme et une étude millimétrée des lignes du corps, que la moindre couture et le moindre pli servent à mettre en valeur. On a souvent employé le terme architecte » pour décrire le travail de Balenciaga et d’Alaïa, dont les créations sont des démonstrations de coupe et de technique. Ce n’est pas étonnant que le deuxième se soit passionné pour le travail du premier et celui de ses aînés, Madame Grès, Elsa Schiaparelli ou Madeleine Vionnet, des couturiers hors pair dont il s’est fait le dernier héritier. C’est d’ailleurs presque au hasard qu’il a commencé à collectionner ses vêtements. Peu après que Cristóbal Balenciaga ait décidé de fermer sa maison de couture, en 1968, Azzedine Alaïa fut contacté par Mademoiselle Renée, directrice adjointe de la maison Balenciaga. Inquiète de ce que deviendraient les stocks de tissus et les robes restées entreposées dans l’atelier qui avait récemment fermé ses portes, elle proposa à un jeune Alaïa d’en disposer comme il voulait, et de prendre la liberté de couper dans les robes de nouveaux modèles. Fasciné par le travail technique et créatif employé sur les vêtements, Alaïa choisit de les conserver intacts, et de constituer une archive qui marquera le début d’une grande collection qu’il ne cessera d’enrichir tout le long de sa vie. La nouvelle exposition de la galerie Azzedine Alaïa fait dialoguer plusieurs dizaines de ses modèles avec ceux de Cristóbal Balenciaga, un face à face étonnant entre deux grands maîtres de la coupe et du hiver 1954 Stéphane Aït Ouarab
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AzzedineAlaïa collectionneur — Alaïa et Balenciaga, sculpteurs de la forme. Fondation Azzedine Alaïa Galeries. Du 20 janvier 2020 au 13 mars 2020. Richard Wentworth à la Maison Alaïa. Fondation Azzedine Alaïa Du 8 septembre 2017 au 26 novembre 2017. Entre l'art et la mode. Fondation Azzedine Alaïa Du 11 novembre 2016 au 1 janvier 2017. Claude Parent : dessiner la Balenciaga parfum Paris 10, avenue Georges V Le nouveau parfum Balenciaga Paris Un bon couturier doit être architecte pour les plans, sculpteur pour la forme, peintre pour la couleur, musicien pour l’harmonie et philosophe pour la mesure. » Cristobal Balenciaga. Labeur quotidien, respect, exigence, générosité. Cristobal Balenciaga fut le plus pur serviteur de la Haute Couture. Cristobal Balenciaga emploiera sa vie entière à explorer l’alchimie d’un vêtement et la beauté de la couture. Cette existence faite de mille gestes et d’une totale maîtrise de son art aboutira à l’essentiel la simplicité d’une coupe. Elle est devenue légendaire. Balenciaga s’acharnera sur la construction du vêtement, décortiquant minutieusement ses structures, à la recherche de leurs secrets, comme un puzzle sans cesse retravaillé et simplifié afin de tendre à la perfection, à l’épure d’une seule ligne. Tout naturellement, saison après saison, il reprend son ouvrage, pour finalement imposer l’air du temps. L’histoire de Balenciaga et ses fragrances Balenciaga – Paris 10, avenue Georges V Né en 1895 à Guetaria, au Pays Basque espagnol, Cristobal Balenciaga a le choix entre devenir pêcheur, comme son père, ou prêtre, comme son oncle. Sa mère, elle, était couturière. Ce sera sans doute cette influence là qui le guidera. Son sacerdoce sera la mode. En véritable autodidacte, il crée sa première Maison de Couture en Espagne, en 1919. La marque est un succès. Cristobal Balenciaga décède en 1972. Cet artiste a profondément marqué le monde de la Couture par son style personnel et clairement identifiable. Et cette abnégation quasi religieuse faire absolument son métier. Et ce but suprême la perfection. Balenciaga – Paris 10, avenue Georges V – Charlotte Gainsbourg Balenciaga Paris 10, avenue Georges V C’est une maison particulière. De Cristobal Balenciaga à Nicolas Ghesquière, il règne ici une atmosphère rigoureuse et fantasque à la fois. Entre expérimentation de la couture et morale de la coupe. Dans la Maison Balenciaga, il y a le couturier qui obéit aux injonctions du style, il y a aussi l’artiste qui se réserve le domaine du rêve… C’est dans cet univers qu’est né un nouveau parfum Balenciaga Paris. Le flacon de parfum Balenciaga Paris Un flacon pur, sans trace, sans gravure… La couleur du jus, pâle et ambré, comme un nectar de sous-bois que l’on vient de mettre sous verre, se dévoile, plus ou moins prononcée, derrière les facettes et les arêtes. Un flacon comme nul autre, soufflé, où l’aléatoire le rend unique et précieux. Un flacon qui allie l’angle et la rondeur. Un flacon doux aux ncoignures… Un flacon non dénué d’humour, dont le capuchon ivoire apparaît comme une surprise et sort de sa cape de velours. Il a l’allure Balenciaga… D’emblée, cette petite note de violette veut faire croire que Balenciaga Paris est un parfum léger, agréable comme le beau temps. Balenciaga – Charlotte GAINSBOURG Il y a dans Balenciaga Paris les premiers jours d’avril, des souffles fleuris, les fleurs d’un certain jour. Un air de printemps des robes éphémères et les regards d’une fois. Un bouquet de violette, c’est aussi une tonalité désuète, le charme suranné de quelques pétales séchés que l’on retrouve entre les pages d’un livre de Colette, des ébauches de souvenirs, cette œuvre si fine qu’est le passé… Mais, très vite, une touche poivrée se révèle et ouvre sur un bois calme et moussu. Une frondaison qui se respire aux heures secrètes de la nuit. S’exprime alors une autre nature, plus nocturne. Une sensualité se précise. La couleur ombrageuse de son jus dit déjà un peu de son mystère. C’est un parfum plein de lumière avec quelques sombres embrasures. Une association parfumée inédite Balenciaga Paris est un joli paradoxe. C’est un parfum qui se fait vie, qui se mêle de vivre. Balenciaga Paris s’offre et se défend… Porter Balenciaga Paris c’est devenir cette femme inaccessible et proche qui passait sous les feuillages… Balenciaga – Nicolas GHESQUIERE Dès mon arrivée chez Balenciaga, il y a maintenant plus de dix ans, j’ai voulu créer un parfum. Un parfum classique et chic, digne d’une grande maison de couture. Mais un parfum qui raconte aussi une histoire inédite. Je voulais que Balenciaga Paris soit un parfum qui s’affirme et occupe la mémoire. Je voulais que Balenciaga Paris soit aussi une fragrance au mystère suave. J’aimerais que l’on découvre Balenciaga Paris en ayant l’impression de l’avoir toujours connu. Charlotte ne se définit pas, et ce parfum lui ressemble.» Nicolas GHESQUIERE. Charlotte Gainsbourg marie prodigieusement toutes les contradictions. Fragile et certaine. Lumineuse et discrète. Sophistiquée et ardente. C’est une femme de son temps qui n’oublie pas la transparence de l’enfance. C’est une élégance française cette alchimie incomparable entre chic et désinvolture. Une étrange beauté qui fascine et déroute. C’est une volonté obstinée et une voix des caresses. Charlotte Gainsbourg est l’image de Balenciaga Paris. Parfums Femme Famille Olfactive Floral – Rose Violette Notes de Tête Poivre, Notes Vertes. Notes de Cœur Violette, Notes Florales. Notes de fond Notes Boisées, Notes Poudrées, Muscs. Retrouvez le au meilleur prix chez notre partenaire parfums Tendance Parfums.
ALAÏAet BALENCIAGA Sculpteurs de la forme sous la direction d’Olivier Saillard. Fondation Azzedine Alaïa 18, rue de la Verrerie, 700 Paris En 1968, ne se reconnaissant pas dans l’essor du prêt-à-porter naissant, lui qui n’avait fait que servir religieusement le dogme de la cliente, Cristobal
Discret mais surdoué, le créateur franco-tunisien, réinventeur de glamour et sculpteur de femmes puissantes, est décédé dans la nuit de vendredi à Alaïa est mort dans la nuit de vendredi à samedi, dix jours après avoir été hospitalisé à la suite d’une chute. Apprenant la nouvelle, samedi matin, tout connaisseur de la mode a eu immédiatement le cerveau bombardé d’images très précises. De silhouettes sculpturales, de robes incroyablement carénées, de corps fuselés. Une esthétique très forte, reconnaissable entre toutes, comme inscrite au feutre noir dans des cortex pourtant largement saturés. C’est qu’Azzedine Alaïa relève des créateurs décisifs, de ceux qui marquent des étapes et caps de la mode, le club des Balenciaga, Dior, Saint Laurent. Sa spécialité l’aéronautique. Alaïa faisait de toute femme un avion de sculpture a certainement joué. Azzedine Alaïa l’avait étudiée avant de se tourner vers la mode. C’était à Tunis, où ce fils d’agriculteurs avait vu le jour le 26 février 1940. Elevé principalement par sa grand-mère, il avait le même goût pour les grandes tablées, était connu pour y mêler des puissants comme des petites mains. Comme quoi la volupté n’était pas chez lui que théorique ou professionnelle, quand bien même il ne faisait pour sa propre personne aucune fioriture immuablement habillé d’un costume chinois noir. C’est également à Tunis qu’il avait commencé à coudre, donnant notamment le coup de main à sa sœur Hafida pour des finitions. Il était ensuite passé à la reproduction de modèles de robes Dior ou Balmain pour des voisines ou des femmes des grandes familles locales.Coqueluche»C'est grâce à la mère de son amie d'enfance Leila Menchari la créatrice virtuose des vitrines Hermès, ces temps-ci hommagée au Grand Palais qu'il avait décroché à 27 ans une place de tailleur chez Dior, à Paris. Très vite renvoyé pour un problème de carte de séjour, il s'était replié sur la couture à domicile. Une autre bonne fée avait alors surgi, Simone Zehrfuss, femme de l'architecte Bernard Zehrfuss, et amie de Louise de Vilmorin devenu le protégé de la très influente auteure et socialite», Azzedine Alaïa était par la même occasion entré dans un milieu. Il racontait à Télérama, en 2013 D'un coup j'étais devenu la coqueluche. Ma petite taille m'a rendu service tout le monde me caressait la tête !»Son grand-père maternel l'avait initié au cinéma, une de ses passions – il y avait aussi le design, la photographie, comme l'atteste sa galerie rue de la Verrerie à Paris, la chanson, les chiens. La rencontre et la collaboration avec Arletty figuraient clairement parmi les grands moments de la vie d'Azzedine Alaïa. Il en disait J'étais fasciné par sa voix, son allure, sa façon d'ajuster sa robe, et je voulais à tout prix la rencontrer.» Le sphynx Garbo, aussi, est passé entre les mains d'Alaïa, qui préférait travailler sur un mannequin d'atelier plutôt que de scotcher au dessin initial, qui disait Mouler sur le corps, c'est comme sculpter.»Créatures triomphantesMais c'est dans les années 80 qu'Azzedine Alaïa était devenu le roi du pétrole, à partir de la rue de Bellechasse dans le VIIe arrondissement de Paris où il avait installé sa maison de couture. Paname faisait la fête, notamment au Palace, le sida n'existait pas, la mode hippie avait vécu, une autoroute s'ouvrait pour un glamour réactualisé, appuyé, sexy – plutôt que charmant comme dans les années 50. Et Alaïa en même temps que Thierry Mugler, Claude Montana et Jean-Paul Gaultier envoyait du bois des tailleurs à taille creusée qui soulignent les formes et flattent la silhouette d'amphore, d'affolantes robes seconde peau, des décolletés vertigineux, des zips et des œillets bien coquins, un body inédit, un caleçon noir ultramoulant… As de la matière, il s'emparait de toutes les nouveautés comme la maille stretch, travaillait les cuirs de façon insensée, jusqu'à leur donner l'apparence d'une dentelle. Les top modèles de l'époque, les Naomi Campbell, qui l'appelait Papa», Linda Evangelista ou Cindy Crawford, en prenaient l'allure de reines, créatures triomphantes plutôt que femmes-objets. Et une Grace Jones ou une Farida Khelfa en Alaïa, immortalisées par Jean-Paul Goude, restent des images iconiques, de femmes puissantes, totalement affranchies. Le mot empowerment» n'existait pas encore mais aurait pu être créé pour caractériser l'effet Alaïa. Avec lui, la femme était flattée, mise en valeur, soutenue. Il disait d'ailleurs toujours à Télérama en 2013 Mon métier est d'arranger la silhouette par la coupe du vêtement ou par les proportions. Si la cliente a le derrière un peu bas, j'essaie de le remonter un peu, c'est ça le travail d'un couturier !»Coups de patteA partir des années 90, la grande lessiveuse qu'est la mode est passée à d'autres coqueluches et tendances. Azzedine Alaïa a tenu sa ligne jusqu'au bout, discret mais résolu. Il n'a jamais sacrifié à la tendance du créateur-star fort en gueule ou en frasques médiatiques. Et hors de question de passer la brosse à reluire il pouvait au contraire envoyer de sacrés coups de patte. Contre la grande prêtresse-épouvantail du Vogue américain Anna Wintour notamment, et à plusieurs 2011, alors qu'il l'avait déjà dite oubliable, il enfonce le clou Elle sait tenir un business mais elle ne maîtrise pas la mode. […] Elle n'a pas photographié mon travail depuis des années et pourtant, je suis l'un des meilleurs vendeurs aux Etats-Unis. Les Américaines m'aiment et je n'ai pas besoin de son soutien. […] Elle fait peur à tout le monde mais quand elle me voit, c'est elle qui a peur !» Karl Lagerfeld, lui aussi, en avait pris pour son grade Je n'aime pas sa mode, son esprit et son attitude. C'est trop caricatural. Il n'a jamais touché une paire de ciseaux de sa vie. Cela ne signifie pas qu'il n'est pas talentueux mais il fait partie d'un autre système. Et il a des capacités. Un jour, il fait de la photo, et l'autre, une pub pour Coca-Cola. Je préférerais mourir plutôt que mon visage soit sur des panneaux publicitaires. Nous ne faisons pas le même métier. Et il ne rend pas service aux jeunes stylistes qui vont penser que tout marche comme cela.»Même une fois adossé au géant suisse Richemont, à partir de 2007, Alaïa avait conservé toute la maîtrise de sa maison, avec laquelle il faisait corps. Opposé au diktat du calendrier officiel des défilés qui oblige à un renouvellement stakhanoviste, il présentait ses collections à son propre rythme, devant une assistance réduite, loin du barnum en cours dernier défilé a eu lieu en mai, il s’agissait du premier depuis six ans. Sous les bravos et les cris d’enthousiasme, Naomi Campbell, immuablement féline, avait ouvert le bal dans un paletot en fourrure à échos russes. Ce n’était que le début d’une démonstration de raffinement, à base de guipure, cotte de maille, imprimé léopard, sublimes plissés, stupéfiantes dentelles comme en sucre glace. tGxgGqI.
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